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     NOUVEL APPEL A MANIFESTATION A PARIS LE 19/03/2011         

      

                                                                          

    Nouvel appel à manifestation à Paris

     

    Congolaises, Congolais, Chers Compatriotes,

    Comme chacun le sait, la peur a déjà changé de camp dans toutes les dictatures du monde entier.

     

    Dans notre pays, le Congo (Brazzaville),

    Même s’il continue d’afficher une sérénité apparente,

    Même s’il continue de garder son allure martiale,

    Même s’il continue de bomber le torse,

    Même s’il continue de nous proférer les menaces en parlant de sa fameuse paix chèrement acquise,

    Même s’il continue de nous chanter sa chanson préférée, toujours la même depuis son retour au pouvoir par les armes, chanson qui nous rappelle inlassablement les événements de 1997, 98 et 99,

    Même s’il croit pouvoir nous dissuader en jouant sur les peurs et en agitant son épouvantail de la guerre civile ; comme son ami Kadhafi en Libye,

    Chacun le voit bien, notre dictateur a perdu de sa superbe ; l’air inquiet, Denis Sassou Nguesso a très peur comme on a pu le lire dans son interview qu’il a accordée à Jeune Afrique.

     

    Chers Compatriotes,

    Nous l’avons tous compris, c’est maintenant Denis Sassou Nguesso qui a peur même si en bon dictateur endurci, il tente de faire bonne figure et nous faire croire le contraire.

     

    Chers Compatriotes,

    Ne nous laissons pas avoir une nième fois et cessons d’avoir peur,

    Certes, notre peuple a été profondément traumatisés par les guerres de 1997, 98 et 99 mais est-ce vraiment une raison valable pour baisser définitivement les bras et refuser de se battre pour notre liberté et notre dignité ? Que serait devenue la France si ses Fils et Filles avaient définitivement baissé les bras devant la puissance allemande ? 

    Et que dire des peuples tunisien, égyptien ou libyen ? N’ont-ils pas été eux aussi longtemps traumatisés par leurs dictateurs ?  

     

    Alors Chers Compatriotes,

    Suivons ce bel exemple de courage que nous ont montré les peuples de Tunisie, d’Egypte et de Libye,

    Ne laissons surtout pas échapper cette formidable opportunité qui s’offre à nous aujourd’hui,

    Mobilisons-nous, à l’intérieur comme à l’extérieur du pays et débarrassons-nous définitivement de la dictature,

     

    Face à la dictature et à la misère, nous sommes tous logés à la même enseigne,

    Du Nord au Sud, de Tâ Nkombo, Mikalou, Talangaï ou Ouenzé à Bacongo, Makélékélé, Dzata ou Moutabala, notre misère est la même ; il n’y a pas une misère du Nord et une misère du Sud, la misère est la même pour tous les Congolais,

     

    Que nous soyons sur place au pays ou à l’extérieur, nous avons tous un rôle à jouer,

    Ceux de l’intérieur qui refusent lâchement de se lever pour la liberté et la dignité, et qui accusent ceux de l’extérieur de les inciter et les envoyer à la mort devraient faire preuve de modestie et se rappeler que lorsqu’ils sont confrontés à un quelconque besoin d’argent (soins médicaux, fêtes…), c’est toujours vers leurs Frères et Sœurs qui sont à l’extérieur qu’ils se tournent. Autrement dit, dans l’adversité comme dans la joie, les Congolais de l’extérieur ont toujours été solidaires de ceux restés au pays. N’est-ce pas là une raison suffisante qui leur donne le droit de demander à ceux restés au pays de manifester pacifiquement pour la liberté et la dignité de notre peuple ?       

     

    Chers Compatriotes,

    Laissons de coté nos égos et oublions ce qui nous divise,

    Tous ensemble, levons-nous dans un formidable élan de communion nationale pour manifester notre ras-le-bas et chasser la dictature afin d’offrir de meilleures perspectives d’avenir à nos enfants,

    Il y a dans notre pays de nombreuses personnes diplômées qui ont aujourd’hui 50 ans, voire plus et qui n’ont jamais travaillé de leur vie ; ils vivent toujours chez leurs parents et y font des enfants. Totalement désœuvrés et sans aucune perspective d’avenir, ils passent le plus clair de leur temps à jouer aux jeux de dames et à consommer de l’alcool ou de la drogue. Pourtant, ils ne sont pas prêts à se lever pour demander le départ de ce régime corrompu qui les sacrifiés, 

    Quel avenir et quel héritage laisseront-ils à leurs enfants ?

    Et que dire de toutes les personnes licenciées et qui n’ont jamais été indemnisées (RNTP, ONPT, BCC, COMILOG, AIR AFRIQUE…) ?

     

    Ceux qui ont peur de se lever parce qu’ils ne veulent pas mourir seraient-ils si aveugles pour ne pas voir qu’en les privant d’hôpitaux et de soins décents, notre dictateur les tue chaque jour comme des mouches ?

    Pourquoi le fait de mourir d’une simple morsure de moustique pour cause de privation de soins décents ou encore le fait de mourir prématurément parce qu’on n’a pas pu arriver à temps dans la salle d’opérations à cause du manque d’ascenseurs au CHU de Brazzaville serait-il mieux accepté par les Congolais que le fait de mourir sous les balles d’une milice privée venue de  Tsambitso ou d’Oyo pour mater un peuple qui manifeste pacifiquement et qui réclame la liberté,  la dignité, la démocratie et la justice sociale ?

    Ne vaut-il pas mieux de mourir pour une cause juste que de mourir d’un palu non soigné ou pour cause de manque d’ascenseurs à hôpital dans un pays qui engrange des centaines de milliards de pétrodollars chaque jour ?    

     

    Chers Compatriotes,

    Ce n’est pas pour servir les intérêts d’un Homme ou ceux d’un groupe ethnique quelconque que nous devons nous lever pour chasser notre dictateur, mais c’est pour notre liberté et notre dignité collective, C’est pour permettre l’instauration dans notre pays d’un système de gouvernance plus démocratique, plus humaine et plus juste qui favorisera de facto notre créativité et offrira ainsi de bien meilleures perspectives d’avenir à nos enfants,

     

    Chers Compatriotes,

    Chacun l’aura donc bien compris, il ne s’agit pas ici d’un combat partisan qui servirait les ambitions d’un Homme, d’une ethnie, d’une région ou d’une partie du pays contre une autre, mais bien d’un combat pour l’édification d’une véritable nation congolaise, moderne et fondée sur les valeurs de liberté, de démocratie et de justice sociale.

     

    Il s’agit donc bien d’un combat pour notre salut national, et notre peuple, le vaillant peuple congolais qui est un peuple mûr qui a toujours su se lever avec courage à chaque grand rendez-vous de l’histoire l’a très bien intégré.  A Brazzaville, à Pointe-Noire et partout ailleurs dans le pays, le peuple est prêt à descendre massivement dans la rue, les mains nues, pour demander de manière pacifique le départ du dictateur Denis Sassou Nguesso et son régime corrompu.

     

    C’EST POURQUOI LA DIASPORA DOIT MAINTENANT DONNER LE TEMPO

     

    RETROUVONS-NOUS LE SAMEDI 19 MARS 2011 A PARTIR DE 14h JUSQU'A 17h

    Place Victor HUGO à Paris 16è (non loin de l’ambassade du Congo en France)

    MetroVictor HUGO  - ligne 2 – Direction porte de Dauphine

       Contact : Maurille LOUZALA - tél. : 06 84 58 03 09

                        


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    Intervention de l’A.R.D à la conférence de presse du 26 février 2011 à Brazzaville

     

     



    Distingués invités,

    Mesdames et Messieurs les journalistes,

    Militants et militantes de l’ARD,


    ...................................................................

    Aujourd’hui, les dictatures prennent l’eau de toute part. Un monde nouveau est en marche. Le vent de la liberté qui a déjà emporté les dictateurs Ben Ali et Hosni Moubarak en Tunisie et en Egypte souffle actuellement sur d’autres dictatures du monde arabe. C’est ici l’occasion pour l’ARD de saluer le courage et la combativité des peuples tunisiens et égyptiens, qui ont su surmonter la peur et les interdits, pour exprimer au grand jour leur soif de liberté et de démocratie.
    Ce mouvement de révolte qui aura assurément un effet domino, s’étendra à coup sûr à d’autres pays où les dictatures au pouvoir font la loi, à l’instar de celle du Congo.

    L’ARD appelle l’opinion internationale à soutenir et à renforcer les combats pour l’instauration d’une véritable démocratie en Afrique. Dans ce contexte, l’ARD dénonce l’envoi, dans le cadre de l’organisation de l’élection présidentielle en République Centrafricaine, d’éléments de la force publique congolaise, d’hélicoptères et d’experts en tricherie électorale du Congo Brazzaville, sous couvert d’observateurs électoraux. Ces derniers ont, d’après l’opposition de ce pays, perpétré des fraudes électorales, menaçant ainsi la paix civile dans ce pays frère.

    De même, l’ARD dénonce avec vigueur les manoeuvres de déstabilisation des pays de la sous-région d’Afrique centrale, orchestrées par le pouvoir de Brazzaville depuis un certain temps, notamment, les tentatives de déstabilisation de la République Démocratique du Congo où, d’après les médias internationaux, des hommes en armes du Congo Brazzaville ont été arrêtés dans la partie Est de ce pays voisin, où les populations aspirent à vivre en paix avec nous.

    En ce qui concerne le Congo, l’ARD lance un appel aux fonctionnaires, afin qu’ils comprennent que la prétendue revalorisation de la grille salariale est un bluff. Elle est un miroir aux alouettes pour ennoblir une basse opération d’escroquerie politique. Au lieu d’améliorer leur pouvoir d’achat, la nouvelle grille salariale diminue de 200 points en moyenne, le nombre de points de leur indice. C’est donc pour eux une régression et non pas un progrès. L’augmentation forfaitaire de 10.000 F ou de 15.000 F de leurs salaires est très insignifiante par rapport au coût très élevé de la vie. Ils méritent mieux et le pouvoir dispose d’énormes ressources financières pour améliorer de façon substantielle leurs salaires. C’est pourquoi, ils doivent redoubler de combativité pour exiger du gouvernement, une véritable revalorisation de la grille salariale de la fonction publique qui implique la prise en compte de l’évolution d’ensemble de la carrière des agents de l’Etat et du coût de la vie.

    L’ARD exhorte également, les jeunes, les élèves et étudiants sans lendemain, les diplômés sans emploi, les enseignants dits volontaires, les licenciés des entreprises liquidées, les retraités, bref, tous les exclus et toutes les victimes de la politique anti-sociale du pouvoir actuel, à vaincre la résignation, à se mobiliser et à s’organiser pour participer à la lutte de l’ensemble du peuple pour une alternance démocratique au Congo et une rupture totale d’avec ce régime qui s’ingénie à les maintenir dans un chômage massif, la misère, la précarité et l’extrême pauvreté.

    En matière électorale, l’ARD réitère sa proposition d’un dialogue politique préalable pour mettre en place les dispositions consensuelles pour toutes les opérations préélectorales et électorales et lance un vibrant appel aux forces politiques dans notre pays, afin qu’elles s’imprègnent des expériences de lutte des autres peuples (Tunisie, Egypte) et s’arment de courage pour les batailles politiques et sociales actuelles et futures.

    De façon générale, l’ARD lance un vibrant appel au peuple congolais, pour qu’il tire les enseignements de la lutte des autres peuples du monde, afin que se réalisent au Congo les conditions d’exercice d’une démocratie vraie en vue de l’alternance démocratique.
    De façon particulière, l’ARD appelle ses militants et sympathisants, à redoubler de vigilance, pour faire échec aux manoeuvres du pouvoir visant à déstabiliser l’opposition en général, l’ARD en particulier, à travers les intimidations, la corruption et les tentatives de mise en place en leur sein, de groupements politiques fantoches, acquis à son injuste cause.

    La suite Conférence ARD

    fait à Brazzaville le 26 Février 2011

     

    La Conférence des Présidents


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    Intervention de l’A.R.D à la conférence de presse du 26 février 2011 à Brazzaville

     

     



    Distingués invités,

    Mesdames et Messieurs les journalistes,

    Militants et militantes de l’ARD,


    ...................................................................

    Aujourd’hui, les dictatures prennent l’eau de toute part. Un monde nouveau est en marche. Le vent de la liberté qui a déjà emporté les dictateurs Ben Ali et Hosni Moubarak en Tunisie et en Egypte souffle actuellement sur d’autres dictatures du monde arabe. C’est ici l’occasion pour l’ARD de saluer le courage et la combativité des peuples tunisiens et égyptiens, qui ont su surmonter la peur et les interdits, pour exprimer au grand jour leur soif de liberté et de démocratie.
    Ce mouvement de révolte qui aura assurément un effet domino, s’étendra à coup sûr à d’autres pays où les dictatures au pouvoir font la loi, à l’instar de celle du Congo.

    L’ARD appelle l’opinion internationale à soutenir et à renforcer les combats pour l’instauration d’une véritable démocratie en Afrique. Dans ce contexte, l’ARD dénonce l’envoi, dans le cadre de l’organisation de l’élection présidentielle en République Centrafricaine, d’éléments de la force publique congolaise, d’hélicoptères et d’experts en tricherie électorale du Congo Brazzaville, sous couvert d’observateurs électoraux. Ces derniers ont, d’après l’opposition de ce pays, perpétré des fraudes électorales, menaçant ainsi la paix civile dans ce pays frère.

    De même, l’ARD dénonce avec vigueur les manoeuvres de déstabilisation des pays de la sous-région d’Afrique centrale, orchestrées par le pouvoir de Brazzaville depuis un certain temps, notamment, les tentatives de déstabilisation de la République Démocratique du Congo où, d’après les médias internationaux, des hommes en armes du Congo Brazzaville ont été arrêtés dans la partie Est de ce pays voisin, où les populations aspirent à vivre en paix avec nous.

    En ce qui concerne le Congo, l’ARD lance un appel aux fonctionnaires, afin qu’ils comprennent que la prétendue revalorisation de la grille salariale est un bluff. Elle est un miroir aux alouettes pour ennoblir une basse opération d’escroquerie politique. Au lieu d’améliorer leur pouvoir d’achat, la nouvelle grille salariale diminue de 200 points en moyenne, le nombre de points de leur indice. C’est donc pour eux une régression et non pas un progrès. L’augmentation forfaitaire de 10.000 F ou de 15.000 F de leurs salaires est très insignifiante par rapport au coût très élevé de la vie. Ils méritent mieux et le pouvoir dispose d’énormes ressources financières pour améliorer de façon substantielle leurs salaires. C’est pourquoi, ils doivent redoubler de combativité pour exiger du gouvernement, une véritable revalorisation de la grille salariale de la fonction publique qui implique la prise en compte de l’évolution d’ensemble de la carrière des agents de l’Etat et du coût de la vie.

    L’ARD exhorte également, les jeunes, les élèves et étudiants sans lendemain, les diplômés sans emploi, les enseignants dits volontaires, les licenciés des entreprises liquidées, les retraités, bref, tous les exclus et toutes les victimes de la politique anti-sociale du pouvoir actuel, à vaincre la résignation, à se mobiliser et à s’organiser pour participer à la lutte de l’ensemble du peuple pour une alternance démocratique au Congo et une rupture totale d’avec ce régime qui s’ingénie à les maintenir dans un chômage massif, la misère, la précarité et l’extrême pauvreté.

    En matière électorale, l’ARD réitère sa proposition d’un dialogue politique préalable pour mettre en place les dispositions consensuelles pour toutes les opérations préélectorales et électorales et lance un vibrant appel aux forces politiques dans notre pays, afin qu’elles s’imprègnent des expériences de lutte des autres peuples (Tunisie, Egypte) et s’arment de courage pour les batailles politiques et sociales actuelles et futures.

    De façon générale, l’ARD lance un vibrant appel au peuple congolais, pour qu’il tire les enseignements de la lutte des autres peuples du monde, afin que se réalisent au Congo les conditions d’exercice d’une démocratie vraie en vue de l’alternance démocratique.
    De façon particulière, l’ARD appelle ses militants et sympathisants, à redoubler de vigilance, pour faire échec aux manoeuvres du pouvoir visant à déstabiliser l’opposition en général, l’ARD en particulier, à travers les intimidations, la corruption et les tentatives de mise en place en leur sein, de groupements politiques fantoches, acquis à son injuste cause.

    La suite Conférence ARD

    fait à Brazzaville le 26 Février 2011

     

    La Conférence des Présidents


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    SASSOU NGUESSO, DEGAGE !

    78 milliards d’euros soit 51.168 milliards de FCFA dans les comptes privés en France, au Brésil, aux Emirats Arabe et à la banque de Chine, telle est la fortune de SASSOU NGUESSO, en plus des immeubles et des voitures de luxe. En plus de la fortune de sa femme,  des enfants et des neveux.

    Conscient d’avoir menti aux Congolais depuis 27 ans, SASSOU NGUESSO s’apprête à jouer un grand coup pour détourner l’attention du monde sur le chômage criard des jeunes, le manque des libertés politiques et individuelles, l’absence des perspectives politiques et économiques, la misère du Congo.

    En effet, il vient d’inventer par SAHOUS, EPASSAKA et ADOUA une fausse  incursion des Ninjas à Nkouo ce 20 février 2011 à 5h00 pour apeurer les Congolais qui ont décidé de le débarquer comme Ben ALI en Tunisie, Hosni MOUBARAK en Egypte et bientôt Mouammar KADHAFI en Libye.

    Chers compatriotes, n’ayons plus peur et levons-nous pour conquérir notre liberté et notre dignité. N’ayons plus peur car la bible déclare maintenant "la liberté des captifs, la brisure des chaînes".

    Levons nous aujourd’hui pour chasser ce dictateur qui a tué plus de 200.000 congolais pour asseoir son pouvoir familial ; souvenons-nous de tous nos morts : Ange Diawara, MASSAMBA-DEBAT, cardinal Emile BIAYENDA, KIMBOUALA-NKAYA, Auxence ICKONGA, Pierre ANGA, les enfants de Moukondo, les charniers du Pool et de la Bouenza (Nkayi, près de l’aéroport), les disparus du beach, etc…

    Disons aujourd’hui NON à ce suceur de sang. Tous dans la rue, convergeons vers les places de la LIBERTE :

    A Pointe-Noire, place de la bourse du travail ; à Brazzaville, place de la République au C.C.F ; à Nkayi, place de la gare ; à Ouesso, place du marché, à Impfondo, place rouge.


    Sassoouu, moyibiii ! Sassoouu, moyibiii ! Sassoouu, moyibiii ! Sassou, dégage !!!


    Vive la liberté.

    Coordinateur des actions

    Jean Edgard ELENGA


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