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    POUR EN SAVOIR PLUS SUR LE BRIC A BRAC DE MALELA

     

      

     

    Toutes ces images proviennent du Bric-à- brac de MALELA


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    http://www.microsoft.com/france/formation/cert/mcdba/cursus.mspx

    Microsoft Certified Database Administrator sur SQL Server 2000

    MCDBA sur SQL Server 2000 : les conditions d'obtention



    Selon votre profil, vous devez obtenir 3 ou 4 examens :

    1 examen dans la catégorie Infrastructure.


    +

    1 examen dans la catégorie Développement de Base de données ,


    +

    1 examen dans la catégorie Administration de Base de données ,


    +

    1 examen à choisir dans la liste des Examens complémentaires.


    Les examens à passer

    Infrastructure

    Vous devez passer 1 examen au choix ou la combinaison d'examens 70-067 - 70-068 :
    70-290 Administration et maintenance d'un environnement Microsoft Windows Server 2003
    70-291 - Mise en oeuvre, administration et maintenance d'une infrastructure réseau Microsoft Windows Server 2003
    70-215 - Installation, configuration et administration de Microsoft Windows 2000 Server *

    ou

    70-275 - Installation, configuration et administration de Microsoft Windows Server 2003 (bientôt disponible)
    70-067 - Implémentation et support de Windows NT Server 4.0 (cet examen n'est plus disponible auprès des centres de tests)

    ET

    70-068 - Implémentation et support de Windows NT Server 4.0 en entreprise (cet examen n'est plus disponible auprès des centres de tests)

    +

    Développement de Base de Données

    Vous devez passer 1 examen :
    70-229 - Conception et implémentation de bases de données avec Microsoft SQL Server 2000 Édition Entreprise
    70-029 : Conception et implémentation de bases de données avec Microsoft SQL Server 7.0 (cet examen n'est plus disponible auprès des centres de tests)

    +

    Administration de Base de Données

    Vous devez passer 1 examen :
    70-228 - Installation, configuration et administration de Microsoft SQL Server 2000 Édition Entreprise
    70-028 : Administration de Microsoft SQL Server 7.0 (cet examen n'est plus disponible auprès des centres de tests)

    +

    Examens complémentaires

    Vous devez passer 1 examen au choix parmi la liste ci-dessous :
    70-293 - Planification et maintenance d'une infrastructure réseau Microsoft Windows Server 2003
    70-305 - Développement et mise en œuvre d'applications Web avec Microsoft Visual Basic .NET et Microsoft Visual Studio .NET
    70-306 - Développement et mise en œuvre d'applications Windows avec Microsoft Visual Basic .NET et Microsoft Visual Studio .NET
    70-310 - Développement de services Web XML et de composants serveur via Microsoft Visual Basic .NET et l'environnement Microsoft .NET Framework
    70-315 - Développement et mise en œuvre d'applications Web avec Microsoft Visual C# .NET et Microsoft Visual Studio .NET
    70-316 - Développement et mise en œuvre d'applications Windows avec Microsoft Visual C# .NET et Microsoft Visual Studio .NET
    70-320 - Développement de services Web XML et de composants serveur via Microsoft Visual C# .NET et l'environnement Microsoft .NET Framework
    70-216 - Implémentation et administration d'une infrastructure réseau Microsoft Windows 2000

    ou

    70-276 : Implémentation et administration d'une infrastructure réseau Microsoft Windows Server 2003 (bientôt disponible)
    70-015 : Conception et implémentation d'applications distribuées avec Microsoft Visual C++ 6.0 (cet examen n'est plus disponible auprès des centres de tests)
    70-019 : Conception et implémentation de data warehouses avec Microsoft SQL Server 7.0 (cet examen n'est plus disponible auprès des centres de tests)
    70-155 : Conception et implémentation d'une application distribuée avec Microsoft Visual FoxPro 6.0 (cet examen n'est plus disponible auprès des centres de tests)
    70-175 : Conception et implémentation d'applications distribuées avec Microsoft Visual Basic 6.0 (cet examen n'est plus disponible auprès des centres de tests)

    *A noter

    Les candidats qui détiennent l'examen 70-240 en reçoivent le crédit pour les examens principaux 70-215 et 70-216.
    Attention
    Les examens 70-019, 70-028 et 70-029 ne peuvent être utilisés pour répondre aux conditions d'obtention du cursus MCDBA sur SQL Server 2000 s'ils sont combinés aux examens 70-290 ou 70-291.

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    Déclaration de Moungounga Nguila Kombo sur la dérive de l'UPADS
    La dégénérescence actuelle de la situation du Congo - Brazzaville comporte d'énormes risques collectifs irréversibles si on ne décide pas maintenant d'arrêter la dérive dictatoriale. Nul doute, les conséquences néfastes qui affectent, d'ores et déjà, de façon durable et négative la vie des congolais, leur santé et l'ensemble de leurs activités peuvent devenir irrémédiables, si l'on n'y prend pas garde. Face à cette préoccupation grandissante, il était normal que Moungounga-Kombo Nguila, Homme politique constant dans l'engagement qui est le sien, réagisse avec fermeté et rigueur pour alerter la conscience de ses compatriotes tout en leur exposant son projet de société.

    Pour voir la video, cliquez ci-dessous

    http://www.congolibre-info.com/video.htm


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    Autopsie d’une  schizophrénie du pouvoir : Cas du Congo-Brazzaville.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    De nombreux  analystes politiques congolais  rivalisent de mâles propos sur les dérives du pouvoir actuel, les conclusions sont presque les mêmes, à quelques détails près : Sassou et son clan ont l’intention de tout faire pour confisquer le pouvoir d’Etat, fusse au prix de leurs vies ; au prix de la vie des congolais, surtout.

    <o:p> </o:p>

    Une telle démarche étonne, vu l’état apocalyptique dans lequel ils ont délibérément plongé notre pays. Une retraite, comme le lui a toujours suggéré  son ex-comparse ( ?)  Ngouolondélé serait peut être la meilleure porte de sortie pour lui, mais rien n’y fait. Une seule explication à tout çà : la schizophrénie du pouvoir.

    <o:p> </o:p>

    La psychanalyse nous aide à comprendre ce mal insidieux qui a habité  et sali l’âme de nombreux et célèbres empereurs, tout au long de l’histoire. Ses symptômes sont connus : l’ivresse que procure l’image de soi que vous renvoient chaque jour, les medias ; la sensation d’être Dieu parce qu’on détient entre les mains, le pouvoir de défaire des vies, d’en fabriquer, d’ordonnancer même la mort et de l’administrer ; la crainte, l’envie, la soumission et la terreur qu’on suscite autour de soi. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Comme l’écrit bien J. Anouilh, « Le privilège des grands, c’est d’admirer les catastrophes, de leurs terrasses. ». Ainsi,  les congolais privés d’électricité, d’eau courante, des soins de santé adéquats, rien n’est inhérent à une fâcheuse conjoncture, c’est une volonté machiavélique  pour faire durer le plaisir. De même, les membres de l’opposition  appauvris à dessein, et contraints d’aller demander l’aumône à l’empereur pour survivre,   ou le spectacle affligeant des  pseudo-sages du Kouilou qui viennent s’agenouiller  devant le trône , procèdent de cette démarche cynique qui vise à  agrémenter  les vices du roi de Mpila.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le plaisir de Néron fut ainsi de voir brûler Rome et de se délecter de la fureur des flammes dévoratrices ; celui de Caligula était d’expérimenter le droit de vie et de mort (surtout de mort) qu’il avait sur le peuple, en ordonnançant, par moments, des exécutions à vous procurer quelque frisson. Le plaisir de Chaka était de voir l’ennemi empalé vivant, sur un pieu jusqu’à ce qu’il expire, las de souffrances insupportables. Jules César et les Romains, sauvages, de cette époque, jouissaient de voir les gladiateurs être dévorés par les lions ou bien s’entretuer : « Ave Caesar, morituri te salutan »Bonjour César, ceux qui vont mourir te saluent ! Tel était le rituel en vigueur, en prélude à la célébration des plaisirs étranges du grand empereur romain ! Sassou et ses tueurs à gage auraient aimé que nos 353 compatriotes froidement  massacrés en une seule après <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:time w:st="on" Minute="0" Hour="12">midi</st1:time> au Beach de Brazzaville,  eurent rendu un dernier hommage à leurs bourreaux.

    <o:p></o:p> 

    <o:p> </o:p>On devine aisément , comment, des loges étincelantes de lumière du Palais de Mpila où il trône, satisfait de soi, Sassou  se pâme d’aise quand  plusieurs membres de l’opposition se bousculent au portillon de sa mangeoire. Ces pseudos opposants , aux rêves si facilement monnayables, mais surtout,  si prompts à marchander leur conviction ! C’est cela, le plaisir des princes et des hommes qui possèdent la culture de la cruauté délicieuse : se délecter des petitesses de leurs (presque) semblables – les hommes. Un privilège des dieux.  L’écrivain burkinabé Patrick Ilboudo a d’ailleurs approfondi  la question  dans un livre au titre très évocateur : "vertige du trône"<o:p></o:p>

     

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Les peuples ne décèlent cette folie qui habite l’esprit de certains dirigeants maléfiques qu’après le temps de l’apocalypse, quand ces derniers ont fini de ruiner le monde, semant et laissant sur leurs passages, cendres, cris, cadavres et désolations. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Et Sassou  porte en lui, l’âme de ces dirigeants. Ni plus, ni moins dangereux qu’eux ; mais tout simplement, exactement comme eux. Ils sont venus pour bousculer le monde, le rendre un peu différent de ce qu’il était, avant eux. Pas forcément meilleur ni pire, mais tout simplement (ou tragiquement – c’est selon), différent.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Après plus d’un quart de siècle d’un règne sans partage, l’empreinte  de Sassou ne passera jamais inaperçu. Elle  entrera forcément dans le ventre de l’histoire, car après le fracas de son passage, les historiens et les survivants indiqueront, toujours, une ère avant lui, une autre sous lui, et une ère après lui : il y aura ainsi le Congo  avant Sassou, le Congo sous Sassou, et le Congo après Sassou . En définitive , une chaotique série de Sassou I, II, III nous nargue, et si l’on y prend garde, une succession des Nguesso.  Cela sera ainsi parce que Sassou est venu pour déclencher le big-bang négatif au Congo en lui imprimant un certain ordre dont lui seul et les maîtres des secrets de l’ombre (ceux-là qui savent décrypter les grandes énigmes) ainsi que quelques analystes avisés, savent la logique. Je confesse mon ignorance sur ce plan.<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    Idi Amine, Hitler, Pol Pot, Staline, Sékou Touré, Mobutu n’étaient tous, que des fous, pas des grands hommes. Des fous lucides cependant, car ils avaient perçu, dans des moments de transe subliminale, la médiocrité du genre humain, la fragilité de la vie, enfin la puissance ― toute la puissance que donne le trône rouge du pouvoir.<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    La perte du contact avec la réalité obstrue toute lucidité, et le pouvoir moribond de Sassou refuse de comprendre qu’il faut bien plus que la maîtrise logomachique et l'habileté manœuvrière, pour gravir l'ultime marche du panthéon politique. Il faut  plus, même qu’au bout de longues années, être en paix avec sa conscience, serein au soir tombant du destin, persuadé que l'action menée est sa meilleure plaidoirie. Détaché des événements, détaché de soi, c'est parce qu'il n'attend plus rien que le politique obtient alors ce luxe suprême d'être un grand homme, au moment précis où cela lui est devenu indifférent. Dommage pour le cobra-suprême, il ne s’agit ici que des grands hommes  qui font vraiment l’Histoire…<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p>

    Djess dia Moungouansi<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le Blog de Djess<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    http://demainlecongo.oldiblog.com<o:p></o:p>

    <o:p>Cet article a été publié sur Congo-Internet </o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p>"Le MOUSTIQUE"</o:p>


    2 commentaires
  • <O:SMARTTAGTYPE name="PersonName" namespaceuri="urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags"></O:SMARTTAGTYPE>

    Comment conjurer la grande supercherie électorale de 2009 ? <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

      <o:p></o:p>

    <o:p>                                                                       </o:p>

    ·                                                                                                                                              <o:p>                                    </o:p>

    Dans l’imbroglio des grandes manœuvres qui précédent cette  échéance électorale capitale, ce serait manquer à un devoir si je n’apportais ici ma modeste réflexion sur ce qui engage le devenir de notre patrie.


    Face à un clan rendu fou par les recettes pétrolières tant inespérées qu’exponentielles, 70 % des Congolais ne connaissent qu’un horizon de chômage et d’appauvrissement, doublé  des prolégomènes à toutes les affres. Pourtant, le salut institutionnel qu’est l’élection présidentielle  de 2009 pourrait injecter un peu d’optimisme dans cette mer de désespoir. Il incombe désormais  à tout Congolais épris de paix et amoureux de ce pays, de chercher des voies et moyens qui conjureront le fait que l’absurde faiblesse de l’opposition actuelle, plongée dans une torpeur hibernale ne donne  le funeste avantage au clan Sassou, qui fait depuis longtemps preuve de son impudence dans la propagation de  la misère effroyable et dans  l’enrichissement scandaleux des membres de sa cour.

    De fait et dans les faits, Sassou et son clan, parce qu’impunis, passent d’escalade en escalade, imposent des tripatouillages électoraux éhontés. Les élections se succèdent et se ressemblent, tant elles rivalisent de médiocrité et de d’incrédibilité. De Charybde en Scylla, les tricheries électorales à grande échelle deviennent la norme, et personne ne s’en émeut outre mesure, ou ceux qui le sont, sombrent dans un silence assourdissant.
      

    Avec un cynisme susceptible de faire rougir de jalousie Robert Mugabe, l’actuel ministre de l’Administration du territoire et de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la D←centralisation" w:st="on">la Décentralisation</st1:PersonName> refuse la redéfinition du corps électoral par un recensement administratif correct. Il nous propose un fichier sévèrement manipulé où il apparaît des invraisemblances : des districts comme Mouyondzi ou Djambala,  en réalité parmi les plus denses du pays, ont vu leur nombre d’électeurs réduit comme peau de chagrin,  alors que le nombre d’électeurs d’Oyo ou d’Owando a vertigineusement augmenté. La réalité  est connue de tous : des électeurs fantômes et des ex-zaïrois en quête de pétro-Cfa abondants ces jours-ci du côté de la rive droite du fleuve Congo, sont à la merci de ces manœuvres rétrogrades.

    Il  serait par conséquent  suicidaire de participer à une élection dont les dés seraient  pipés.  A contrario, il serait irresponsable d’opter pour un  boycott terne. Un peuple qui sait ce qu’il veut, finit par l’obtenir même au prix fort. Les dictatures les plus redoutables ont été vaincues par la rage des peuples qui réclamaient tout simplement le mieux-être.

    Que faire face à cette imminente supercherie de  2009 ?

    Ne pas faire ce que fait l’opposition actuelle qui pense que la panacée serait de réclamer naïvement  une commission nationale indépendante qu’elle n’obtiendra jamais et pour cause :  Sassou ne nous donnera jamais l’arme qui fera sa perte ; cette arme c’est à nous, peuple congolais de l’inventer. Mais comment ?
    Le chantier le plus urgent et le plus déterminant sur le plan stratégique reste à n’en point douter, de redéfinir  les contours  exacts de l’opposition ou de ce qu’il en reste. Ce qui permettra de faire émerger une classe d’hommes et de femmes  dévoués pour une alternance véritable, en éliminant  ipso facto tous les leurres, les véreux , mais surtout ces rentiers de <st1:PersonName ProductID="la R←publique" w:st="on">la République</st1:PersonName>, ces improductifs qui naviguent allègrement dans tous les pouvoirs aux frais du contribuable congolais. Une redéfinition des règles démocratiques est nécessaire et ceci à travers  les états généraux de l’opposition politique et des associations permettant d’initier un consensus politique comme avant <st1:PersonName ProductID="la CNS. Une" w:st="on">la CNS. Une</st1:PersonName> réflexion commune ne peut que nous être bénéfique et nous préserver de lendemains qui ne chanteront pas et qui ne connaîtront pas d’apothéose.

    Les habiles manœuvres de cooptation du clan Sassou sont en branle, les esprits fragiles, partisans du moindre effort alléchés par le boukoutage, n’ont pas fini de tomber un à un.

    Pour cela, il va falloir exiger une position suffisamment claire au MCDDI qui s’enferre dans son alliance scellée avec le diable  alors que  sa base y est restée hostile. Les récentes sautes d’humeur de Parfait Kolelas  suite au marché de dupes qui les a lésés lors des élections sénatoriales, traduisent à suffisance le malaise qui gagne cette formation politique.  
                         

    De même, la position actuelle de l’Urd-Mwinda (aile dite authentique) consterne plus d’un. Le pitoyable ralliement du fils d’André Milongo à Sassou (via une nouvelle alliance appelant à la reconduction de ce dernier,  <st1:PersonName ProductID="La Semaine Africaine" w:st="on">La Semaine Africaine</st1:PersonName> N° 2834 du Mardi <st1:date w:st="on" Year="2008" Day="14" Month="10" ls="trans">14 Octobre 2008</st1:date>) traduit une véritable crise de dessein.
    Quant à l’UPADS, on est aujourd’hui persuadé d’une chose : les micmacs en son sein procèdent d’un sabotage en règle qui permettra aux instigateurs, après explosion, de servir à Sassou  les reliques de ce parti comme gage de leur fidélité.

    Les postures plus ou moins ambigües de Yhombi, Ngouélondélé ne nous rassurent guère. Et Mathias Dzon, peut- il rassembler au delà de sa région ?  That is the question.

    Un autre important volet  doit s’appuyer sur de nouveaux réseaux de solidarité internationale, une grande coalition morale avec les Etats qui croient très justement encore,  que la démocratie n’était pas  un bien exclusif des pays développés. L’apport de <st1:PersonName ProductID="la Diaspora" w:st="on">la Diaspora</st1:PersonName> en menant une action politique vigoureuse  dans la mise en place du lobbying  serait déterminant. De nombreuses fondations privées américaines et suédoises par exemple, apportent  une aide multiforme à la consolidation des valeurs démocratiques dans certains pays africains.

    La France,  perçue comme un vrai facteur de nuisance, a ses énormes intérêts pétroliers chez nous. Faute de réformer radicalement sa politique africaine, il faudra souhaiter qu’elle se désengage véritablement du Congo. Les Américains et les Chinois constituent l’alternative au cas où notre sort ne serait pas suffisamment mis dans la balance. Exiger et obtenir des élections libres et transparentes, organisées par une Commission  Nationale Indépendante,  suppose une détermination sans faille, animée par des patriotes. L’appui de la communauté internationale n’est décisif que lorsque les nationaux ont envie de changer de registre.


    Le grand défi à relever consiste à prouver que nous Congolais,  sommes capables d’assurer une alternance politique sans affrontements sanglants, dans le respect des règles démocratiques.

    Nous sommes à la croisée des chemins et l’élection présidentielle de 2009 constitue la dernière bouée de sauvetage avant que notre chère patrie se transforme à la fois en charogne et en nécrophage. La dynastie nguessoïste  sonnera le glas du jeu démocratique qui suppose alternance, sauf  si le détenteur légitime du pouvoir, par ses qualités exceptionnelles, s’imposent au choix de ses concitoyens, tel Périclès dans l’Athènes du Ve siècle. Or, même Me Verges et/ou Maître Bemba (ministre de Sassou) avocats de Klaus Barbie, rechigneraient à défendre et à accorder leurs suffrages  au mauvais génie qu’est devenu Sassou,  doté du seul appétit du pouvoir. 

    Djess  dia Moungouansi

    <o:p></o:p>


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    Le Blog de Djess<O:P></O:P>

    http://demainlecongo.oldiblog.com<O:P></O:P>

    Cet article a été publié sur les sites suivants :

    MWINDA.org

    AFRICATIME.com/ip<O:P></O:P>


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