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Microsoft Certified Database Administrator sur SQL Server 2000MCDBA sur SQL Server 2000 : les conditions d'obtention
Selon votre profil, vous devez obtenir 3 ou 4 examens :1 examen dans la catégorie Infrastructure.
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1 examen dans la catégorie Développement de Base de données ,
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1 examen dans la catégorie Administration de Base de données ,
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1 examen à choisir dans la liste des Examens complémentaires.
Les examens à passer
Infrastructure
Vous devez passer 1 examen au choix ou la combinaison d'examens 70-067 - 70-068 :70-290 Administration et maintenance d'un environnement Microsoft Windows Server 2003 70-291 - Mise en oeuvre, administration et maintenance d'une infrastructure réseau Microsoft Windows Server 2003 70-215 - Installation, configuration et administration de Microsoft Windows 2000 Server * ou
70-275 - Installation, configuration et administration de Microsoft Windows Server 2003 (bientôt disponible) 70-067 - Implémentation et support de Windows NT Server 4.0 (cet examen n'est plus disponible auprès des centres de tests) ET
70-068 - Implémentation et support de Windows NT Server 4.0 en entreprise (cet examen n'est plus disponible auprès des centres de tests) +
Développement de Base de Données
Vous devez passer 1 examen :70-229 - Conception et implémentation de bases de données avec Microsoft SQL Server 2000 Édition Entreprise 70-029 : Conception et implémentation de bases de données avec Microsoft SQL Server 7.0 (cet examen n'est plus disponible auprès des centres de tests) +
Administration de Base de Données
Vous devez passer 1 examen :70-228 - Installation, configuration et administration de Microsoft SQL Server 2000 Édition Entreprise 70-028 : Administration de Microsoft SQL Server 7.0 (cet examen n'est plus disponible auprès des centres de tests) +
*A noter
Les candidats qui détiennent l'examen 70-240 en reçoivent le crédit pour les examens principaux 70-215 et 70-216.AttentionLes examens 70-019, 70-028 et 70-029 ne peuvent être utilisés pour répondre aux conditions d'obtention du cursus MCDBA sur SQL Server 2000 s'ils sont combinés aux examens 70-290 ou 70-291.
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Déclaration de Moungounga Nguila Kombo sur la dérive de l'UPADS
La dégénérescence actuelle de la situation du Congo - Brazzaville comporte d'énormes risques collectifs irréversibles si on ne décide pas maintenant d'arrêter la dérive dictatoriale. Nul doute, les conséquences néfastes qui affectent, d'ores et déjà, de façon durable et négative la vie des congolais, leur santé et l'ensemble de leurs activités peuvent devenir irrémédiables, si l'on n'y prend pas garde. Face à cette préoccupation grandissante, il était normal que Moungounga-Kombo Nguila, Homme politique constant dans l'engagement qui est le sien, réagisse avec fermeté et rigueur pour alerter la conscience de ses compatriotes tout en leur exposant son projet de société.Pour voir la video, cliquez ci-dessous
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Autopsie dune schizophrénie du pouvoir : Cas du Congo-Brazzaville.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
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De nombreux analystes politiques congolais rivalisent de mâles propos sur les dérives du pouvoir actuel, les conclusions sont presque les mêmes, à quelques détails près : Sassou et son clan ont lintention de tout faire pour confisquer le pouvoir dEtat, fusse au prix de leurs vies ; au prix de la vie des congolais, surtout.
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Une telle démarche étonne, vu létat apocalyptique dans lequel ils ont délibérément plongé notre pays. Une retraite, comme le lui a toujours suggéré son ex-comparse ( ?) Ngouolondélé serait peut être la meilleure porte de sortie pour lui, mais rien ny fait. Une seule explication à tout çà : la schizophrénie du pouvoir.
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La psychanalyse nous aide à comprendre ce mal insidieux qui a habité et sali lâme de nombreux et célèbres empereurs, tout au long de lhistoire. Ses symptômes sont connus : livresse que procure limage de soi que vous renvoient chaque jour, les medias ; la sensation dêtre Dieu parce quon détient entre les mains, le pouvoir de défaire des vies, den fabriquer, dordonnancer même la mort et de ladministrer ; la crainte, lenvie, la soumission et la terreur quon suscite autour de soi. <o:p></o:p>
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Comme lécrit bien J. Anouilh, « Le privilège des grands, cest dadmirer les catastrophes, de leurs terrasses. ». Ainsi, les congolais privés délectricité, deau courante, des soins de santé adéquats, rien nest inhérent à une fâcheuse conjoncture, cest une volonté machiavélique pour faire durer le plaisir. De même, les membres de lopposition appauvris à dessein, et contraints daller demander laumône à lempereur pour survivre, ou le spectacle affligeant des pseudo-sages du Kouilou qui viennent sagenouiller devant le trône , procèdent de cette démarche cynique qui vise à agrémenter les vices du roi de Mpila.<o:p></o:p>
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Le plaisir de Néron fut ainsi de voir brûler Rome et de se délecter de la fureur des flammes dévoratrices ; celui de Caligula était dexpérimenter le droit de vie et de mort (surtout de mort) quil avait sur le peuple, en ordonnançant, par moments, des exécutions à vous procurer quelque frisson. Le plaisir de Chaka était de voir lennemi empalé vivant, sur un pieu jusquà ce quil expire, las de souffrances insupportables. Jules César et les Romains, sauvages, de cette époque, jouissaient de voir les gladiateurs être dévorés par les lions ou bien sentretuer : « Ave Caesar, morituri te salutan » ― Bonjour César, ceux qui vont mourir te saluent ! Tel était le rituel en vigueur, en prélude à la célébration des plaisirs étranges du grand empereur romain ! Sassou et ses tueurs à gage auraient aimé que nos 353 compatriotes froidement massacrés en une seule après <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:time w:st="on" Minute="0" Hour="12">midi</st1:time> au Beach de Brazzaville, eurent rendu un dernier hommage à leurs bourreaux.
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<o:p> </o:p>On devine aisément , comment, des loges étincelantes de lumière du Palais de Mpila où il trône, satisfait de soi, Sassou se pâme daise quand plusieurs membres de lopposition se bousculent au portillon de sa mangeoire. Ces pseudos opposants , aux rêves si facilement monnayables, mais surtout, si prompts à marchander leur conviction ! Cest cela, le plaisir des princes et des hommes qui possèdent la culture de la cruauté délicieuse : se délecter des petitesses de leurs (presque) semblables les hommes. Un privilège des dieux. Lécrivain burkinabé Patrick Ilboudo a dailleurs approfondi la question dans un livre au titre très évocateur : "vertige du trône"<o:p></o:p>
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Les peuples ne décèlent cette folie qui habite lesprit de certains dirigeants maléfiques quaprès le temps de lapocalypse, quand ces derniers ont fini de ruiner le monde, semant et laissant sur leurs passages, cendres, cris, cadavres et désolations. <o:p></o:p>
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Et Sassou porte en lui, lâme de ces dirigeants. Ni plus, ni moins dangereux queux ; mais tout simplement, exactement comme eux. Ils sont venus pour bousculer le monde, le rendre un peu différent de ce quil était, avant eux. Pas forcément meilleur ni pire, mais tout simplement (ou tragiquement cest selon), différent.<o:p></o:p>
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Après plus dun quart de siècle dun règne sans partage, lempreinte de Sassou ne passera jamais inaperçu. Elle entrera forcément dans le ventre de lhistoire, car après le fracas de son passage, les historiens et les survivants indiqueront, toujours, une ère avant lui, une autre sous lui, et une ère après lui : il y aura ainsi le Congo avant Sassou, le Congo sous Sassou, et le Congo après Sassou . En définitive , une chaotique série de Sassou I, II, III nous nargue, et si lon y prend garde, une succession des Nguesso. Cela sera ainsi parce que Sassou est venu pour déclencher le big-bang négatif au Congo en lui imprimant un certain ordre dont lui seul et les maîtres des secrets de lombre (ceux-là qui savent décrypter les grandes énigmes) ainsi que quelques analystes avisés, savent la logique. Je confesse mon ignorance sur ce plan.<o:p></o:p>
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Idi Amine, Hitler, Pol Pot, Staline, Sékou Touré, Mobutu nétaient tous, que des fous, pas des grands hommes. Des fous lucides cependant, car ils avaient perçu, dans des moments de transe subliminale, la médiocrité du genre humain, la fragilité de la vie, enfin la puissance ― toute la puissance que donne le trône rouge du pouvoir.<o:p></o:p>
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La perte du contact avec la réalité obstrue toute lucidité, et le pouvoir moribond de Sassou refuse de comprendre quil faut bien plus que la maîtrise logomachique et l'habileté manuvrière, pour gravir l'ultime marche du panthéon politique. Il faut plus, même quau bout de longues années, être en paix avec sa conscience, serein au soir tombant du destin, persuadé que l'action menée est sa meilleure plaidoirie. Détaché des événements, détaché de soi, c'est parce qu'il n'attend plus rien que le politique obtient alors ce luxe suprême d'être un grand homme, au moment précis où cela lui est devenu indifférent. Dommage pour le cobra-suprême, il ne sagit ici que des grands hommes qui font vraiment lHistoire <o:p></o:p>
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Djess dia Moungouansi<o:p></o:p>
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Le Blog de Djess<o:p></o:p>
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http://demainlecongo.oldiblog.com<o:p></o:p>
<o:p>Cet article a été publié sur Congo-Internet </o:p>
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<o:p>"Le MOUSTIQUE"</o:p>
2 commentaires -
<O:SMARTTAGTYPE name="PersonName" namespaceuri="urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags"></O:SMARTTAGTYPE>
Comment conjurer la grande supercherie électorale de 2009 ? <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
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Dans limbroglio des grandes manuvres qui précédent cette échéance électorale capitale, ce serait manquer à un devoir si je napportais ici ma modeste réflexion sur ce qui engage le devenir de notre patrie.
Face à un clan rendu fou par les recettes pétrolières tant inespérées quexponentielles, 70 % des Congolais ne connaissent quun horizon de chômage et dappauvrissement, doublé des prolégomènes à toutes les affres. Pourtant, le salut institutionnel quest lélection présidentielle de 2009 pourrait injecter un peu doptimisme dans cette mer de désespoir. Il incombe désormais à tout Congolais épris de paix et amoureux de ce pays, de chercher des voies et moyens qui conjureront le fait que labsurde faiblesse de lopposition actuelle, plongée dans une torpeur hibernale ne donne le funeste avantage au clan Sassou, qui fait depuis longtemps preuve de son impudence dans la propagation de la misère effroyable et dans lenrichissement scandaleux des membres de sa cour.
De fait et dans les faits, Sassou et son clan, parce quimpunis, passent descalade en escalade, imposent des tripatouillages électoraux éhontés. Les élections se succèdent et se ressemblent, tant elles rivalisent de médiocrité et de dincrédibilité. De Charybde en Scylla, les tricheries électorales à grande échelle deviennent la norme, et personne ne sen émeut outre mesure, ou ceux qui le sont, sombrent dans un silence assourdissant.Avec un cynisme susceptible de faire rougir de jalousie Robert Mugabe, lactuel ministre de lAdministration du territoire et de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la D←centralisation" w:st="on">la Décentralisation</st1:PersonName> refuse la redéfinition du corps électoral par un recensement administratif correct. Il nous propose un fichier sévèrement manipulé où il apparaît des invraisemblances : des districts comme Mouyondzi ou Djambala, en réalité parmi les plus denses du pays, ont vu leur nombre délecteurs réduit comme peau de chagrin, alors que le nombre délecteurs dOyo ou dOwando a vertigineusement augmenté. La réalité est connue de tous : des électeurs fantômes et des ex-zaïrois en quête de pétro-Cfa abondants ces jours-ci du côté de la rive droite du fleuve Congo, sont à la merci de ces manuvres rétrogrades.
Il serait par conséquent suicidaire de participer à une élection dont les dés seraient pipés. A contrario, il serait irresponsable dopter pour un boycott terne. Un peuple qui sait ce quil veut, finit par lobtenir même au prix fort. Les dictatures les plus redoutables ont été vaincues par la rage des peuples qui réclamaient tout simplement le mieux-être.
Que faire face à cette imminente supercherie de 2009 ?
Ne pas faire ce que fait lopposition actuelle qui pense que la panacée serait de réclamer naïvement une commission nationale indépendante quelle nobtiendra jamais et pour cause : Sassou ne nous donnera jamais larme qui fera sa perte ; cette arme cest à nous, peuple congolais de linventer. Mais comment ?
Le chantier le plus urgent et le plus déterminant sur le plan stratégique reste à nen point douter, de redéfinir les contours exacts de lopposition ou de ce quil en reste. Ce qui permettra de faire émerger une classe dhommes et de femmes dévoués pour une alternance véritable, en éliminant ipso facto tous les leurres, les véreux , mais surtout ces rentiers de <st1:PersonName ProductID="la R←publique" w:st="on">la République</st1:PersonName>, ces improductifs qui naviguent allègrement dans tous les pouvoirs aux frais du contribuable congolais. Une redéfinition des règles démocratiques est nécessaire et ceci à travers les états généraux de lopposition politique et des associations permettant dinitier un consensus politique comme avant <st1:PersonName ProductID="la CNS. Une" w:st="on">la CNS. Une</st1:PersonName> réflexion commune ne peut que nous être bénéfique et nous préserver de lendemains qui ne chanteront pas et qui ne connaîtront pas dapothéose.
Les habiles manuvres de cooptation du clan Sassou sont en branle, les esprits fragiles, partisans du moindre effort alléchés par le boukoutage, nont pas fini de tomber un à un.
Pour cela, il va falloir exiger une position suffisamment claire au MCDDI qui senferre dans son alliance scellée avec le diable alors que sa base y est restée hostile. Les récentes sautes dhumeur de Parfait Kolelas suite au marché de dupes qui les a lésés lors des élections sénatoriales, traduisent à suffisance le malaise qui gagne cette formation politique.
De même, la position actuelle de lUrd-Mwinda (aile dite authentique) consterne plus dun. Le pitoyable ralliement du fils dAndré Milongo à Sassou (via une nouvelle alliance appelant à la reconduction de ce dernier, <st1:PersonName ProductID="La Semaine Africaine" w:st="on">La Semaine Africaine</st1:PersonName> N° 2834 du Mardi <st1:date w:st="on" Year="2008" Day="14" Month="10" ls="trans">14 Octobre 2008</st1:date>) traduit une véritable crise de dessein.
Quant à lUPADS, on est aujourdhui persuadé dune chose : les micmacs en son sein procèdent dun sabotage en règle qui permettra aux instigateurs, après explosion, de servir à Sassou les reliques de ce parti comme gage de leur fidélité.
Les postures plus ou moins ambigües de Yhombi, Ngouélondélé ne nous rassurent guère. Et Mathias Dzon, peut- il rassembler au delà de sa région ? That is the question.
Un autre important volet doit sappuyer sur de nouveaux réseaux de solidarité internationale, une grande coalition morale avec les Etats qui croient très justement encore, que la démocratie nétait pas un bien exclusif des pays développés. Lapport de <st1:PersonName ProductID="la Diaspora" w:st="on">la Diaspora</st1:PersonName> en menant une action politique vigoureuse dans la mise en place du lobbying serait déterminant. De nombreuses fondations privées américaines et suédoises par exemple, apportent une aide multiforme à la consolidation des valeurs démocratiques dans certains pays africains.
La France, perçue comme un vrai facteur de nuisance, a ses énormes intérêts pétroliers chez nous. Faute de réformer radicalement sa politique africaine, il faudra souhaiter quelle se désengage véritablement du Congo. Les Américains et les Chinois constituent lalternative au cas où notre sort ne serait pas suffisamment mis dans la balance. Exiger et obtenir des élections libres et transparentes, organisées par une Commission Nationale Indépendante, suppose une détermination sans faille, animée par des patriotes. Lappui de la communauté internationale nest décisif que lorsque les nationaux ont envie de changer de registre.
Le grand défi à relever consiste à prouver que nous Congolais, sommes capables dassurer une alternance politique sans affrontements sanglants, dans le respect des règles démocratiques.
Nous sommes à la croisée des chemins et lélection présidentielle de 2009 constitue la dernière bouée de sauvetage avant que notre chère patrie se transforme à la fois en charogne et en nécrophage. La dynastie nguessoïste sonnera le glas du jeu démocratique qui suppose alternance, sauf si le détenteur légitime du pouvoir, par ses qualités exceptionnelles, simposent au choix de ses concitoyens, tel Périclès dans lAthènes du Ve siècle. Or, même Me Verges et/ou Maître Bemba (ministre de Sassou) avocats de Klaus Barbie, rechigneraient à défendre et à accorder leurs suffrages au mauvais génie quest devenu Sassou, doté du seul appétit du pouvoir.
Djess dia Moungouansi<o:p></o:p>
<O:P></O:P>Le Blog de Djess<O:P></O:P>
http://demainlecongo.oldiblog.com<O:P></O:P>
Cet article a été publié sur les sites suivants :
AFRICATIME.com/ip<O:P></O:P>
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