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    SASSOU NGUESSO, DEGAGE !

    78 milliards d’euros soit 51.168 milliards de FCFA dans les comptes privés en France, au Brésil, aux Emirats Arabe et à la banque de Chine, telle est la fortune de SASSOU NGUESSO, en plus des immeubles et des voitures de luxe. En plus de la fortune de sa femme,  des enfants et des neveux.

    Conscient d’avoir menti aux Congolais depuis 27 ans, SASSOU NGUESSO s’apprête à jouer un grand coup pour détourner l’attention du monde sur le chômage criard des jeunes, le manque des libertés politiques et individuelles, l’absence des perspectives politiques et économiques, la misère du Congo.

    En effet, il vient d’inventer par SAHOUS, EPASSAKA et ADOUA une fausse  incursion des Ninjas à Nkouo ce 20 février 2011 à 5h00 pour apeurer les Congolais qui ont décidé de le débarquer comme Ben ALI en Tunisie, Hosni MOUBARAK en Egypte et bientôt Mouammar KADHAFI en Libye.

    Chers compatriotes, n’ayons plus peur et levons-nous pour conquérir notre liberté et notre dignité. N’ayons plus peur car la bible déclare maintenant "la liberté des captifs, la brisure des chaînes".

    Levons nous aujourd’hui pour chasser ce dictateur qui a tué plus de 200.000 congolais pour asseoir son pouvoir familial ; souvenons-nous de tous nos morts : Ange Diawara, MASSAMBA-DEBAT, cardinal Emile BIAYENDA, KIMBOUALA-NKAYA, Auxence ICKONGA, Pierre ANGA, les enfants de Moukondo, les charniers du Pool et de la Bouenza (Nkayi, près de l’aéroport), les disparus du beach, etc…

    Disons aujourd’hui NON à ce suceur de sang. Tous dans la rue, convergeons vers les places de la LIBERTE :

    A Pointe-Noire, place de la bourse du travail ; à Brazzaville, place de la République au C.C.F ; à Nkayi, place de la gare ; à Ouesso, place du marché, à Impfondo, place rouge.


    Sassoouu, moyibiii ! Sassoouu, moyibiii ! Sassoouu, moyibiii ! Sassou, dégage !!!


    Vive la liberté.

    Coordinateur des actions

    Jean Edgard ELENGA


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  • COMMUNIQUE DU CERCLE LA RUPTURE...        


    Logo Cercle La Rupture

     

    COMMUNIQUE DU CERCLE LA RUPTURE...


    Pendant la période allant du 16 février au 21 février dernier, le coordonnateur du cercle la rupture, maître Brice Nzamba était porté disparu, à la grande stupéfaction du cercle au moment où, pour relayer, le vent révolutionnaire actuellement en cours au Maghreb, il s’apprêtait conjointement avec d’autres forces de l’opposition congolaise en France lancer des actions chocs contre les symboles du régime usurpateur et illégitime dirigé par le général d’armée et dictateur Denis Sassou-Nguesso.

    Pour des raisons stratégiques, le cercle la rupture se garde de communiquer davantage sur ces actions dont la mise en œœuvre était imminente au moment de cette disparition, car celles-ci demeurent nécessaires en vue d’impulser le changement au Congo Brazzaville ainsi que dans d’autres pays africains qui croupissent dans la dictature.

    Maître Brice Nzamba a en effet été retrouvé inconscient, sans son passeport, à paris et transporté dans un hôpital où il a bénéficié des soins adaptés.

    le cercle la rupture ainsi que son coordonnateur, convaincus que cette affaire a un lien avec les actions qui étaient en voie d’être menées, appellent à la vigilance et à la confiance tous ses sympathisants, afin de ne pas céder à la peur que visent toutes ces manœuvres d’intimidation à l’encontre des responsables du cercle.

    La « rupture » doit se faire et demeure la seule alternative pour l’édification d’un Congo nouveau, le Congo et l’Afrique de demain sont à construire aujourd’hui, le peuple congolais dans son entièreté mérite qu’on lui rende sa dignité.

    C’est ainsi que, fidèle à son engagement pour une meilleure gouvernance de la chose publique, le cercle la rupture est décidé à aller jusqu’au bout de son combat contre la corruption et le détournement des deniers publics qui sévissent actuellement au Congo Brazzaville.

    pour ce faire, son coordonnateur, Me Brice Nzamba, appuyé par la plate-forme congolaise contre la corruption (pcci) de Benjamin Toungamani a relancé la plainte pour blanchiment d’argent en bande organisée contre la Bnp Paribas, Denis Gokana et Christel Sassou Nguesso, relative à la gestion des revenus issus de la vente du pétrole congolais – qui reste une richesse appartenant au peuple congolais tout entier.

    Aussi, sur demande du greffier de Mr Roger le Loire, doyen des juges d’instruction, me Brice Nzamba a récemment présenté des observations sur la recevabilité de ladite plainte, à la suite desquelles une ordonnance fixant la consignation de partie civile a été prise avec indication du montant à verser à la régie du tribunal de grande instance de paris.

    fort de la jurisprudence « transparency international » du 9 novembre 2010 sur l’affaire des biens mal acquis dans laquelle est mis en examen Mr Denis Sassou-Nguesso, le cercle la rupture est serein quant à la désignation d’un juge d’instruction dans les prochains jours, pour que justice soit enfin faite, et le droit de jouissance effective des revenus pétroliers reconnu à tout le peuple congolais.

    Me Brice Nzamba et la pcci organiseront une conférence de presse à paris dès la désignation d’un juge d’instruction.


    Fait à paris, le 15 mars 2011


    GERTRUDE MALALOU KOUMBA, Porte-Parole du Cercle LA RUPTURE

                               

             Quelques articles de presse                              

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  •                                                                                                                                             


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                             "UNE  AUTRE CULTURE POLITIQUE EST POSSIBLE AU CONGO!"


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  • Congo : l’apogée du népotisme et du tribalisme

    djessConstruire une nation est un travail de longue haleine qui suppose un désir de vivre ensemble entre peuples d’origines diverses ayant entériné un projet commun. Ce projet doit être la rampe de lancement sur lequel tout doit s’appuyer. Cependant, depuis quelques années l'utilisation subliminale du tribalisme  est devenue la  figure classique de la chorégraphie politique au Congo, toujours pour le pire. De fait, notre pays s’abîme inexorablement dans une grave crise économique, sociale et politique.

    Paradoxalement, l’augmentation exponentielle de la rente pétrolière, qui aurait pu desserrer certaines contraintes financières et nous permettre d’envisager un avenir meilleur a érigé un véritable  temple du  tribalisme, un  lieu  où les forces anti-culturelles ont explosé.

    En effet le tribalisme d’Etat est devenu une doctrine, une stratégie pour la pérennisation du pouvoir. C’est un outil dont on se sert aujourd’hui pour conquérir des secteurs de l’économie hier désertés par un pouvoir qui avait privilégié  le métier des armes (1).

    De nos jours, dans les «  officines de Mpila » tout  semble par exemple être mis en œuvre, de manière méthodique,  pour que, dorénavant, les seuls ressortissants du département de la Cuvette, notamment ceux du groupe ethnique Mbochi  soient  « admis » aux concours d’entrée à la Gendarmerie, à l’ENAM (Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature) et à la Faculté des Sciences de la Santé. Une véritable chasse gardée d’un  pouvoir inspiré par une logique aux contours flous.

    poubellesnpcLes résultats à ces concours, autrefois basés sur des critères objectifs et équitables, sont à présent instrumentalisés afin de satisfaire des préoccupations éloignées de tout sentiment national. Si l’on ajoute l’institutionnalisation  des « notes sexuellement transmissibles » à l’université Marien Ngouabi chacun comprend que le pays coure vers l’abîme faute de préparer une élite sélectionnée selon le mérite.

    Le népotisme doublé du tribalisme le plus exacerbé se rencontre à la Société nationale des pétroles du Congo. Songez que depuis la création de cette société une loi non écrite veut que seul un ressortissant de la Cuvette (Bruno Itoua, Auguste Gokana, Jérôme Koko) peut en être le directeur général.  A croire qu’aucun autre Congolais non originaire des bords de l’Alima n’aurait les compétences nécessaires pour le poste. Il en est d’ailleurs ainsi de la quasi-totalité de tous les postes à responsabilité financière.  Sans compter que le fiston Dénis Christel Sassou Nguesso est le grand patron de la commercialisation du pétrole, Willy Nguesso se chargeant du transport maritime de l’or noir, une richesse qui procure 67% des recettes budgétaires et 90% des  devises du Congo.

    Mieux, tous les secteurs d’activité  les plus juteux de l’économie nationale sont confisqués par un petit cercle familial : la sécurité privée des installations pétrolières, aéroportuaires…  (Maurice Nguesso), le transport aérien (Maurice NGUESSO, Edgard NGUESSO, Jean Jacques BOUYA), les grands travaux (Jean Jacques BOUYA), le bâtiment, l’hôtellerie (Ninelle SASSOU NGUESSO, Cendrine SASSOU NGUESSO, Feue Edith-Lucie SASSOU NGUESSO, Denis Christel SASSOU NGUESSO), la radio (Maurice NGUESSO ), les transactions immobilières, la téléphonie mobile, l’eau ( Eugène NGUESSO),  la Communication (Maurice NGUESSO, Claudia , Joujou)…

    Même le combat politique aujourd’hui semble se limiter en une joute entre membres de la même famille et du même clan. Ainsi  «  La lettre du Continent » (n° 579)  évoque  une prétendue  confrontation ethnique  - sur fond de gestion de la principale ressource du Congo qu'est le pétrole – qui opposerait  Mbochi d'Ollombo et Mbochi de Boundji. Des bisbilles familiales auxquelles se résumerait dorénavant la politique dans le pays...

    Snpc

    snpcUne hégémonie ethno-économique  susceptible de faire pâlir de jalousie la famille de l'ex-président tunisien Ben Ali. A ce rythme bientôt la totalité de l’économie congolaise sera (si ce n’est déjà fait) mise en coupe réglée.

    Mais on entend d’ici les objections : le département de la Cuvette dans son ensemble ne bénéficie pas de l’accaparement de l’économie par le clan au pouvoir. A preuve, les inondations à Mossaka sont  toujours d’actualité ; dans cette localité les écoliers risquent chaque matin leur vie, traversant d’une main une rivière à la nage, l’autre main étant occupée à maintenir hors de l'eau habits et cahiers. Certes le Mbochi lambda des tréfonds de la Cuvette Ouest continue de tirer le diable par la queue et n’a jamais entendu parler de pétrole.  N’empêche, ce constat, réel, n’élimine pas cette réalité qui saute aux yeux de tous les Congolais : le pouvoir au Congo prospère sur fond de tribalisme.

    Ce sont d’ailleurs les pratiques tribalistes, davantage peut-être que les privations de libertés politiques qui feront  imploser le système et conduiront, tôt ou tard  le peuple congolais  dans la rue.  Un scénario d’autant plus plausible qu’on ne peut plus guère compter ni sur les syndicats, corrompus ni sur une opposition non véritablement structurée.

    Mais que de rêves et de chimères. Au sortir de la CNS, nous avions tous cru que le pont était définitivement dressé entre un passé - auquel on associait la gabegie, les assassinats, le tribalisme et  le monopartisme -  et un futur plein de promesses démocratiques. Hélas ! Nous nous étions royalement trompés ; nous voici en pleine restauration ; nous voici face à un monstre à deux têtes :  le tribalisme qui se nourrit malheureusement de pétrole et qui éructe les pestilences d’une  misère à grande échelle.

    Djess dia Moungouansi (Membre du Cercle de réflexion « LA RUPTURE »)

     

    Le Blog de Djess

    http://demainlecongo.kazeo.com/

    (1) Source le journal brazzavillois " Talassa "  selon lequel, 95% des Généraux de l’armée sont originaires du Nord, 75% d’une même ethnie, 75% des boursiers des Forces armées nationales sont originaires de même de la partie septentrionale du pays en général en particulier de la Zone  Cuvette- Plateaux, 75% des postes de responsabilité au sein de la FAC sont confiés à des originaires du département de la Cuvette


    Source: http://www.mwinda.org/index.php?option=com_content&view=article&id=640:congo-lapogee-du-nepotisme-e-et-du-tribalisme&catid=101:article


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                                                               Source :politicoblog.canalblog.com

     

    SALE TEMPS  POUR LES DICTATEURS


    Depuis la nuit des temps, les  cris de la jeunesse ont toujours réussi à briser les miroirs menteurs. La chape de plomb, éculée par les lourdeurs du népotisme et du despotisme, vole  en éclat  et fait place à une vague   d’espoir sur laquelle surfent  des alternatives plus viables. Ce n’est pas un jeu d’enfants lorsque les jeunes Maghrébins désespérés s’immolent, couverts d’essence, ou se révoltent à coups de frondes ; leur avenir  est à ce prix.


    Un peu partout les peuples réclament bruyamment du pain, de l’eau et à s’employer. Bien plus, ils revendiquent la liberté. Celle d’aller et de venir à leurs guises, de manger à leur faim, de critiquer, d’orienter et de peser dans la gestion de leurs cités. De se choisir librement et démocratiquement leurs dirigeants, de renouveler leur personnel politique, de leur faire rendre gorge en cas de manquements graves, de les adouber s’ils sont à la hauteur. Ils postulent  à la liberté de participer en hommes émancipés, instruits et actifs à l’animation pleine et entière de leurs Etats, de leurs Nations. De contrôler leurs gouvernements et leurs gouvernants. Bref, la liberté de participer en citoyens libres et conscients.


    Les vents de démocratisation en Afrique, notamment de sa partie « française » que le discours de La Baule de 1991 avait suscité et/ou plutôt « boosté », avaient certes, diminué d’intensité ces dernières années, voire s’étaient quelque peu estompés. Avec les résultats plus que mitigés des conférences nationales et le retour au pouvoir conséquemment des « dictateurs » le plus démocratiquement du monde dans plusieurs pays où la révolte populaire les avait chassés et qui passaient le témoin ou faisaient montre de leur désir de passer le témoin à leur propre progéniture, au point qu’on a eu l’impression que s’ouvrait une nouvelle ère des fils de président.


    N’empêche, la démocratie reprend ses droits. Et un vent de révolte populaire souffle de plus en plus fortement et balaie tout le continent. L’Afrique subsaharienne  n’y échappera pas. 


    Cette redoutable  onde choc  vient fissurer la tour d’ivoire de l’Oyocratie . Dans sa livraison du 18 Janvier 2010, le thuriféraires des «  Dépêches de Brazzaville), grassement payés, et qui nous gavent quotidiennement de pestilence, nous épatent: « la confiscation de la richesse nationale par un petit nombre ne peut avoir comme conséquence que la révolte du plus grand nombre. Elle débouche inévitablement sur la révolte, la violence et, pour finir, l'éjection brutale des gouvernants qui la favorisent ». Les Nguesso, qui ont fait main basse sur les recettes pétrolières, n’ont qu’à bien se tenir ! Oui, c’est le crépuscule  des dictateurs !


    Dans « La Marée du soir », Montherlant nous rappelle « Il n’ y a que deux partis dans tout pays : ceux qui osent dire non, et ceux qui ne l’osent pas. Quand ceux qui ne l’osent pas dépassent en nombre considérable ceux qui l’osent, le pays est fichu »



    Quand bien même, un défaitisme nombriliste et scrogneugneu semble avoir pris le contrôle des esprits de notre jeunesse. Chaque  individu s’occupant désormais à tirer son épingle du jeu dans cette corruption institutionnalisée. Mais ce saupoudrage  ne peut aucunement annihiler la grande rogne d’un peuple qui souffre d’une inégalité dans la répartition de la richesse.


    L’omniprésence du téléphone portable et de l’Internet met  à  mal,  les pans entiers de la Sécurité d’Etat. Un  système de fonctionnement rudimentaire basé exclusivement sur la délation et la corruption. Désormais, tout ce qui se dit ou s’écrit à Tchambitso à l’instant (t) est relayé à Brazza la seconde suivante. Par conséquent, plus besoin de Télécongo ni de la Télé de Dabira, émanation du pouvoir pour savoir que notre pays reçoit entre 300 et 350 milliards de Cfa de recettes pétrolières chaque mois.


    Sassou et son clan croient jouer une partition aisée, d’autant que,  l’opposition congolaise, faute d’un projet fédérateur, choisit à hue et à dia une ruée vers la mangeoire de Mpila, jetant aux orties ses convictions. Aussi, quand ceux qui sont censés représenter cette opposition rivalisent de médiocrité et d’amateurisme, il y a fort heureusement, une frange représentative de la jeunesse congolaise qui n’a rien, sauf le courage de le faire savoir, et qui décide de dire « non » à un désordre qui s’est depuis belle lurette déguisé en ordre.


    L’exaspération a été portée à son paroxysme en juillet 2008,  à la faveur des obsèques de J.P Tchystère Tchikaya, lorsque la jeunesse pontonégrine avait réussi à faire vaciller le régime dictatorial par une manifestation spontanée. Les rats de jardin et les souris de la maison ( les complices du régime dans le Kouilou) n’avaient vu que du feu ; c’est une telle attitude qui a porté ses fruits en Tunisie.


    D’ailleurs, des milliers de Mohamed Bouazizi -le premier suicidé de Sidi Bouzid-  réfléchissent  au Congo et ailleurs, sur la meilleure façon de traduire dans les faits, leur mal être, afin  d’assener un coup fatal  aux  régimes impopulaires, gangrenés par la corruption.


    Cette déliquescence du despotisme à laquelle, on semble assister aujourd’hui, marque un  véritable changement d’époque et de paradigme dans l’ensemble du Maghreb arabe et même au-delà. Les peuples y sont devenus adultes, conscients et exigeants. Peut-être que l’Afrique, noire, blanche ou encore basanée n’est-elle pas tout à fait entrée dans la fin des dictatures quand on regarde ce qui se passe encore en Côte d’Ivoire, au Burkina. Ce qui s’est passé hier au Gabon et au Congo, nous laisse pantois, mais à coup sûr, nous sommes dans la  phase crépusculaire des dictatures sous la poussée des lames de fond de peuples assoiffés de liberté et d’épanouissement.



    Djess dia Moungouansi , Membre du Cercle de Réflexion « La Rupture »


    Le blog de Djess

    http://demainlecongo.kazeo.com/


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