•                                                                   

                          LES VIDEOS QUI ACCUSENT

     

     

    Depuis l'independance du Congo en 1960, l'action de la FRANCE envers notre pays a toujours été controversée. Cette serie de vidéos nous édifient sur ces pratiques d'un autre âge, à travers lesquelles, la puissance colonisatrice n'a jamais abandoné le moindre pan du pays , pourtant independant.


     On comprend ainsi, comment Pierre ANGA fu assassiné dans la forêt d'Ikonongo par SASSOU. Or chose grave, comme en Côte-d'Ivoire Avec Laurent GBAGBO, il fut arrêté par les troupes françaises stationnées au Gabon.

     

    On voit comment Jacques FOCCART, qui maîtrisait déjà tous les rouages de la Françafrique, décidait de vie ou de mort d'un nressortissant de ces pays, sans même en aviser à De GAULLE

               FOCCART contre FULBERT YOULOU                 

     

    FOCCART Gouverneur de l'Afrique

      Foccart manipulateur

     

    LA FRANCE DANS L'ASSASSINAT DE ANGA

     

     

    FOCCART REFUSE DE RENDRE LE TABLIER - AFFAIRE BOKASSA

    LA FRANCE  NE LÂCHE PAS L'AFRIQUE-LA Fin de MOBUTU



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  •                       CRISE IVOIRIENNE

    Blé Goudé, proche de Gbagbo, serait entre la vie et la mort

     

    CHARLES BLE GOUDE ENTRE LA VIE TE LA MORT/

    PARIS/ABIDJAN (Reuters) - Charles Blé Goudé, ancien leader des "Jeunes Patriotes" ivoiriens qui soutenaient l'ex-président Laurent Gbagbo, est entre la vie et la mort aux mains des forces d'Alassane Ouattara, a déclaré vendredi un conseiller de Gbagbo en France.


    LA SUITE - ci  dessous

    BLE GOUDE EN DANGER DE MORT


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  •                                                         

    Chers amis


    Je nous propose le portrait de Marien NGOUABI fait avec brio par le Journaliste Alain FOKA.


    Il faut donc remettre dans le contexte pour mesurer la portée de ces documents.

     

     

     


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                         Mais, où se trouve donc   le  talon d’Achille de Sassou ?

     

    L’histoire des pays d’Afrique du Nord qui défile stoïquement sous nos yeux, est riche en  enseignements : tout autocrate a donc un talon d’Achille ; un maillon faible  inhérent à ce mode de gestion  conçu pour opprimer  leurs peuples. Heureusement. Au Congo, comme ailleurs, les pouvoirs qui ne s’occupent qu’à élaborer des stratégies pour durer, renvoyant  aux calendes grecques les préoccupations des populations, sont d’une extrême fragilité qui n’a d’égal que le mépris qu’ils ont à l’égard de leurs concitoyens.

     

    Tous ces pouvoirs si redoutés par la terreur qu’ils sèment, auraient-t-ils  alors  un ou plusieurs maillons faibles ? Comment peut-on affaiblir de leurs sources de pouvoir ? En réalité, après avoir sonné le tocsin, comment sonner le glas d’un système dépourvu de toute souplesse d’adaptation et  inapte à toute évolution?

     

    Une kyrielle d’interrogations   kafkaïennes aux quelles les Tunisiens et les Egyptiens  ont apporté avec brio,  des réponses idoines. Le peuple Libyen, convaincu de la forte corrélation entre liberté d’un peuple et sa volonté à s’affranchir de l’asservissement et de  la domination, n’a pas l’intention de lâcher prise. En présence, deux camps  aux intérêts divergents, mais à la fin ; c’est le peuple qui en sort toujours vainqueur…

     

    Aussi, l’insigne impéritie du pouvoir de Sassou, devient  un sacré boulet qui va le précipiter dans la géhenne, déjà jonchée des mauvais souvenir tels Ben Ali, Moubarak. Ce pouvoir, dépourvu de toute légitimité issue du peuple,  méprisant les institutions pourtant façonnées par lui et pour lui, est l’incarnation d’un régime autocratique  retrograde  dans lequel,  seuls le clan et la famille tirent leur épingle du jeu. Or, un pouvoir qui s’appuie sur un clan, au mépris des institutions, est voué  aux arias et aléas  de la rue. En dépit de toute vraisemblance, de nombreux  points forts de ce régime, deviennent, quand on y jette un regard approfondi, des vraies béances, tant, ils sont cristallisés dans un égoïsme qui dessert allègrement l’intérêt général. La liberté d’un peuple est toujours tributaire de sa capacité et de sa volonté à s’affranchir de l’asservissement et de la domination.

     Jean Dominique Okemba, neveu de Sassou, secrétaire général du Conseil national de sécurité (CNS), qui a pour rôle de garder les fétiches et de gérer l’argent  pour les coups tordus, n’assure aucune sécurité pour les Congolais. Il est donc le pilier d’un dispositif conçu pour perpétuer le pouvoir pour le pouvoir, sans aucune ambition pour le pays. Ses responsabilités sont du fait du Prince –Distributeur de la rente, mais ne viennent pas  de la plèbe  qui ne lui a jamais confié un quelconque mandat. Sa défaillance entraîne ipso facto celle de tout un clan. Moralité : mieux vaut s’appuyer sur des solides institutions que sur un homme, fut-il contre-Amiral   de son Etat !

    Autre point faible, la cohorte des Généraux  de l’armée congolaise. A l’instar du Général Adoua, les sbires de ce pouvoir ont transformé leur domicile en stock d’armes, croyant se mettre à l’abri des fureurs d’un peuple subjugué par l’espoir d’une vie meilleure. Erreur. Ils sont plus des faux supporters de Sassou que des vrais remparts contre lacolère d’un peuple désabusé. Préoccupés par la protection de leurs biens mal acquis et à sauver leur peau, il seront les premiers à prendre leur jambe au coup quand sonnera le glas  de ce système moyenâgeux.  

    Enfin, le dernier point relatif au nerf de la guerre est d’une importance capitale. Pour fragiliser une dictature, et lui porter le coup fatal,  il faut en priorité « taper là où ça fait mal ». Agir sur la rente pétrolière,  source de financement essentielle du pouvoir pour imposer des mesures coercitives au gouvernement congolais, résume l’essentiel du travail  de nos deux infatigables compatriotes : Christian Mounzéo et Brice Makosso. Mr Portella, dans les limites de ses prérogatives religieuses y apporte une contribution d’une valeur insoupçonnée.

     

     A travers l’Initiative de Transparence des Industries Extractives ( ITIE) proposée en Octobre 2002 à Johanesbourg par Tony Blair, on impose une action directe et conjointe entre les gouvernements, la société civile, les entreprises et les investisseurs au développement et à la gouvernance de l’Initiative, avec le soutien technique et  financier des IFI. Même si les structures de gouvernance de l’Initiative au Congo n’ont été mises en place qu’en 2007, on ne peut pas encore être euphorique d’autant qu’en 2010, un  écart abyssal de 32% a été constaté entre les chiffres de versements déclarés par les pétroliers  et  ceux du gouvernement congolais, encore hostile à une gestion orthodoxe. Les mauvaises habitudes ont la peau dure !

     

     Cependant, au fur et à mesure, la coalition «  Publiez ce que vous payez » (PCQVP) devient un véritable carrefour  de pouvoir. Elle permet aux corps constitués d’agir collectivement dans le cadre de l’encadrement et de  la mise sous tutelle de la rente pétrolière qui est l’instrument de corruption par excellence.   Cette coalition a obtenu un certain nombre de recommandations relatives à la transparence des recettes pétrolières. Partant du principe qu’il  n’y aurait jamais un seul corrompu sans  corrupteur,  des action ciblées et efficaces sont menées sur  trois fronts  (Gouvernement congolais, France et gouvernement du Nord, IFI). Et la marge de manoeuvre du régime de Brazzaville pour siphonner des recettes pétrolières,  se réduit chaque jour comme peau de chagrin.

     

    Toutes ces actions, comme vous l’avez  deviné, visent à porter un grand coup à la capacité de corruption de ce régime qui a fait de  l’achat des consciences, de la distribution des prébendes pour acheter la paix sociale, des véritables  les leviers pour la poursuite de leur besogne anti –démocratique.

     

    Dans le n° de Jeune Afrique,  Sassou Nguesso, dans un élan d’impudence réaffirme de façon subliminale au journaliste de complaisance F. Soudan,  qu’il ne craignait rien des partis politiques congolais ;  on le comprend aisément, ils tous englués dans une concussion qui atténue toute velléité revendicatrice.  Mais le peuple congolais qui aurait « le sens de la réalité » sait bien reconnaître son bourreau, et cette fois-ci,son indulgence légendaire sera mis à mal  par la nécessité suprême : la survie du Congo.

    Le peuple congolais sait depuis longtemps, qu’aucun dictateur n’est indéboulonnable. Cette race de personnes qui ont une pierre à la place du cœur, sont  en réalité des vrais colosse aux pieds d’argile. Les sources de pouvoir d’une dictature, représentées par  les mesures répressives, ne sont pas toujours disponibles, pire, elles ne sont pas fiables.  Il n’est donc pas illusoire qu’une population à mains nues, sans chars ni bombes, vienne à bout d’une dictature redoutable.

     

     

    La phase crépusculaire des dictatures va se prolonger, et aucun dictateur ne sera épargné. En infligeant tant d’abjections  à son peuple, le système Sassou génère des ingrédients de sa propre destruction. La geste du clan d’Oyo qui confisque tout bonnement tout l’espace du pouvoir, en avalant l’espace politique, procède de  l’élaboration d’un  véritable plan de carrière familial, pour une dévolution monarchique du pouvoir. Le coup d’arrêt de la privatisation de tout un Etat par cette famille gloutonne, est un grand défi  qui s’impose au peuple congolais. Mis dos au mur, par dignité, il est dans l’obligation de  le relever  par tous les moyens. Ce pouvoir autiste l’apprendra à ses dépens : lorsqu’on  étouffe l’humanité d’un peuple, on  libère son animalité.

     

     

    Djess dia moungouansi 


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    Intervention de l’A.R.D à la conférence de presse du 26 février 2011 à Brazzaville

     

     



    Distingués invités,

    Mesdames et Messieurs les journalistes,

    Militants et militantes de l’ARD,


    ...................................................................

    Aujourd’hui, les dictatures prennent l’eau de toute part. Un monde nouveau est en marche. Le vent de la liberté qui a déjà emporté les dictateurs Ben Ali et Hosni Moubarak en Tunisie et en Egypte souffle actuellement sur d’autres dictatures du monde arabe. C’est ici l’occasion pour l’ARD de saluer le courage et la combativité des peuples tunisiens et égyptiens, qui ont su surmonter la peur et les interdits, pour exprimer au grand jour leur soif de liberté et de démocratie.
    Ce mouvement de révolte qui aura assurément un effet domino, s’étendra à coup sûr à d’autres pays où les dictatures au pouvoir font la loi, à l’instar de celle du Congo.

    L’ARD appelle l’opinion internationale à soutenir et à renforcer les combats pour l’instauration d’une véritable démocratie en Afrique. Dans ce contexte, l’ARD dénonce l’envoi, dans le cadre de l’organisation de l’élection présidentielle en République Centrafricaine, d’éléments de la force publique congolaise, d’hélicoptères et d’experts en tricherie électorale du Congo Brazzaville, sous couvert d’observateurs électoraux. Ces derniers ont, d’après l’opposition de ce pays, perpétré des fraudes électorales, menaçant ainsi la paix civile dans ce pays frère.

    De même, l’ARD dénonce avec vigueur les manoeuvres de déstabilisation des pays de la sous-région d’Afrique centrale, orchestrées par le pouvoir de Brazzaville depuis un certain temps, notamment, les tentatives de déstabilisation de la République Démocratique du Congo où, d’après les médias internationaux, des hommes en armes du Congo Brazzaville ont été arrêtés dans la partie Est de ce pays voisin, où les populations aspirent à vivre en paix avec nous.

    En ce qui concerne le Congo, l’ARD lance un appel aux fonctionnaires, afin qu’ils comprennent que la prétendue revalorisation de la grille salariale est un bluff. Elle est un miroir aux alouettes pour ennoblir une basse opération d’escroquerie politique. Au lieu d’améliorer leur pouvoir d’achat, la nouvelle grille salariale diminue de 200 points en moyenne, le nombre de points de leur indice. C’est donc pour eux une régression et non pas un progrès. L’augmentation forfaitaire de 10.000 F ou de 15.000 F de leurs salaires est très insignifiante par rapport au coût très élevé de la vie. Ils méritent mieux et le pouvoir dispose d’énormes ressources financières pour améliorer de façon substantielle leurs salaires. C’est pourquoi, ils doivent redoubler de combativité pour exiger du gouvernement, une véritable revalorisation de la grille salariale de la fonction publique qui implique la prise en compte de l’évolution d’ensemble de la carrière des agents de l’Etat et du coût de la vie.

    L’ARD exhorte également, les jeunes, les élèves et étudiants sans lendemain, les diplômés sans emploi, les enseignants dits volontaires, les licenciés des entreprises liquidées, les retraités, bref, tous les exclus et toutes les victimes de la politique anti-sociale du pouvoir actuel, à vaincre la résignation, à se mobiliser et à s’organiser pour participer à la lutte de l’ensemble du peuple pour une alternance démocratique au Congo et une rupture totale d’avec ce régime qui s’ingénie à les maintenir dans un chômage massif, la misère, la précarité et l’extrême pauvreté.

    En matière électorale, l’ARD réitère sa proposition d’un dialogue politique préalable pour mettre en place les dispositions consensuelles pour toutes les opérations préélectorales et électorales et lance un vibrant appel aux forces politiques dans notre pays, afin qu’elles s’imprègnent des expériences de lutte des autres peuples (Tunisie, Egypte) et s’arment de courage pour les batailles politiques et sociales actuelles et futures.

    De façon générale, l’ARD lance un vibrant appel au peuple congolais, pour qu’il tire les enseignements de la lutte des autres peuples du monde, afin que se réalisent au Congo les conditions d’exercice d’une démocratie vraie en vue de l’alternance démocratique.
    De façon particulière, l’ARD appelle ses militants et sympathisants, à redoubler de vigilance, pour faire échec aux manoeuvres du pouvoir visant à déstabiliser l’opposition en général, l’ARD en particulier, à travers les intimidations, la corruption et les tentatives de mise en place en leur sein, de groupements politiques fantoches, acquis à son injuste cause.

    La suite Conférence ARD

    fait à Brazzaville le 26 Février 2011

     

    La Conférence des Présidents


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