• DSK ménotté

     

                                                                                                                 

                                      


                                           OPHELIA , CELLE QUI A EU LA TÊTE DE STRAUSS-KAHN

     

      DSK disait craindre un "guet-apens" lié au sexe

                             UNE AFFAIRE CURIEUSE , TOUT DE MÊME

    Quand on est surveillé et photographié (affaire de la Porsche) et qu'on craint un get-apens (femme inventant une histoire), on peut difficilement imaginer DSK agresser la première femme de ménage venue. Ensuite, il s'enfuit, mais téléphone à l'hôtel pour signaler qu'il se trouve à l'aéroport. Le seul élément à charge est a reconnaissance de DSK dans un line-up par la femme de chambre. Mais DSK est un personnage public. Franchement, cettte affaire ne tient pas debout.Dominique, tenez bon, la vérité finit toujours par triompher.

        

     

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    Le texte de la plainte contree STRAUSS -KAHN

     

    Le peuple de l'Etat de New York contre Dominique Strauss-Kahn (M62).

    Le détective Steven Lane, matricule 03295 de la brigade de détectives de l'Unité spéciale de Manhattan, constate ce qui suit.

    Le 14 mai 2011, à environ midi, à l'adresse 44W 44th Street, dans le comté et l'Etat de New-York, la plaignante a déposé plainte sur les chefs d'accusation de :

    •Acte sexuel criminel du premier degré (deux chefs)

    •Tentative de viol au premier degré (un chef)

    •Abus sexuel au premier degré (un chef)

    •Séquestration au deuxième degré (un chef)

    •Abus sexuel au troisième degré (un chef)

    •Attouchements (un chef)

    L'accusé a tenté d'avoir, par la force, une relation sexuelle anale et orale avec une autre personne ; l'accusé a tenté d'avoir des rapports vaginaux avec une autre personne ; l'accusé a forcé une autre personne à un contact sexuel ; l'accusé a séquestré une autre personne : l'accusé a obligé une autre personne à un contact sexuel sans le consentement de cette dernière ; l'accusé a de façon intentionnelle et sans raison légitime touché les parties sexuelles et autres parties intimes d'une autre personne dans le but d'avilir une autre personne et d'abuser d'elle, et dans le but d'assouvir le désir sexuel de l'accusé.

    Ces attaques ont été commises dans les circonstances suivantes : le soussigné constate que le soussigné a été informé par une personne connue des services du procureur que l'accusé a…

    •Fermé la porte du lieu cité ci-dessus et et empêché la plaignante de quitter le lieu

    •A saisi les seins de la plaignante sans son consentement

    •A essayé retirer le collant de la plaignante et de toucher son sexe

    •A fait entrer en contact son pénis avec la bouche de la plaignante à deux reprises

    •Est parvenu à réaliser les actes ci-dessus en utilisant la force physique

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    Debré sur DSK: "L'hôtel a étouffé d'autres affaires"

    Le député de Paris, qui a posté un billet sur son blog dimanche très critiqué à gauche, affirme que Dominique Strauss-Kahn a déjà agressé dans le passé d'autres femmes de chambre dans ce même hôtel new-yorkais.

                            

                         DSK menotté

    En postant un billet sur son blog dimanche où il qualifie Dominique Strauss-Kahn de "délinquant sexuel " qui doit se faire "soigner", le député de Paris a déclenché la colère de nombreux hommes politiques de gauche (dont Pierre Moscovici ) et d'internautes qui lui reprochent une violence démesurée dans les mots. 

    Contacté par L'Express lundi matin, Bernard Debré maintient ses propos et accuse Dominique Strauss-Kahn de s'être déjà livré à des agressions sexuelles, dans ce même hôtel de New York. Elles ont été passées sous silence par la direction contre l'avis des employés. 

    "Il faut sortir de l'hypocrisie. Ce n'est pas la première fois que DSK se livrait à ce genre d'agissements au Sofitel. C'est là qu'il descendait toujours. Ça s'est produit plusieurs fois et depuis plusieurs années. Tout le monde le savait dans l'hôtel", déclare Bernard Debré, actuellement en déplacement en Chine. 

    "Les Chinois se marrent"

    "Les employés étaient sur le point de se révolter. La direction était au courant mais jusque là n'osait rien dire. Elle a étouffé toutes les autres affaires. D'autres femmes de chambre avant Ophelia - une femme charmante de 32 ans qui travaillait très bien - avaient été agressées. Il faut arrêter de jouer les vierges effarouchées. Vous croyez que les flics de New York l'auraient interpellé dans l'avion s'ils n'avaient pas d'informations précises?", ajoute le parlementaire. 

    "C'est humiliant pour notre pays. C'est une très grande honte. Là, je suis à Shanghai. Les Chinois me regardent et se marrent. Ils se disent que tous les Français sont des obsédés sexuels. Si on continue à ne rien dire, ça va aider le Front national", poursuit Bernard Debré. 

    "J'ai eu beaucoup d'appels de parlementaires et de militants qui me soutiennent", assure le député. Des ministres aussi? "Je ne peux rien dire."

    Source : lexpres.fr

    Dominique Strauss-Kahn aurait un alibi, selon la radio RMC

    Dominique Strauss-Kahn aurait quitté son hôtel une heure avant le moment de l'agression sexuelle présumée contre une femme de chambre qui lui vaut d'être inculpé par la justice américaine, affirme lundi RMC.

    La radio, qui ne cite pas ses sources, dit que les avocats du directeur général du Fonds monétaire international (FMI) ont reconstitué son emploi du temps de dimanche.

    "Il aurait quitté l'hôtel à midi, soit une heure avant l'heure de l'agression supposée de la femme de chambre", peut-on lire sur le site internet de RMC.

    Dominique Strauss-Kahn aurait alors rejoint sa fille pour déjeuner dans un restaurant de New York et sa défense s'apprêterait à donner des preuves matérielles et des témoignages de ce déjeuner.

    RMC ajoute que la défense se penche sur la personnalité de la victime présumée pour tenter de prouver qu'elle aurait eu un intérêt matériel à porter plainte.

    Source:  Reuters


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