• Arrestation de Laurent Gbagbo

                                              

                      

               LA COLERE DES PEUPLES   D'AFRIQUE

    Suite à  ce qui semble être de toute vraisemblance un kidnapping orchestré par la France pour le compte de leur  valet ALASSANE OUATARA, une véritable levée de bouclier  s’empare spontanément des peuples d’Afrique.


    Regardez ces images.

     
     

     

     

     

    L'assaut contre Gbagbo en tenue camouflée

    Quelle frustration ! Sarko, chef des armées, vient de gagner une guerre, et il doit tout faire pour éviter les lauriers. Même si cela ne trompe personne, de Juppé à l'état-major, chacun y est allé de son couplet faussement modeste : ce sont les troupes de Ouattara qui ont arrêté Gbagbo. Les Français - pardon, l'ONU, avec l'aide française - ont juste apporté leur soutien.

    Dernièrement, Sarko avait demandé aux forces françaises d'intervenir militairement mais en évitant, autant que possible, de donner l'impression que c'étaient-elles qui permettaient à Ouattara de l'emporter. Et on en a vu les effets au cours de la conquête du sud du pays et de l'entrée dans la ville d'Abidjan.

    En réalité, lors de l'assaut final contre la résidence du président déchu, toute la logistique (hélicos, blindés, troupes) était française. Nos forces spéciales étaient prêtes à investir le bunker, et toutes les opérations menées par les «forces républicaines » ou par l'ONU ainsi que les transmissions étaient gérées par Licorne. Le commandement a fait savoir à Gbagbo que, s'il ne se rendait pas aux troupes de Ouattara, il serait contraint de se rendre aux Français.

    Une humiliation supplémentaire, paraît-il.

    Depuis des jours, Sarko répétait qu'il était essentiel que Gbagbo soit pris vivant pour ménager les chances d'une réconciliation. Et qu'il fallait éviter à tout prix de se mettre en avant, ce qui aurait pour effet de transformer Ouattara en créature de l'Occident en général et de la Françafrique en particulier.

    Les consignes ont été suivies. Mais la ficelle est tellement grosse que le tir de barrage sur le thème « C'est pas nous, c'est Ouattara » n'a été pris au sérieux par personne. Cette petite guerre de communication, elle, a été perdue...

    Jérôme Canard

    © Le Canard Enchaîné (13/4)

         SIMONE GBAGBO entre les mains des rebelles

                 

    Ci-Dessus REACTION DE CHARLES BLE GOUDE


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