•   

                                                               Source :politicoblog.canalblog.com

     

    SALE TEMPS  POUR LES DICTATEURS


    Depuis la nuit des temps, les  cris de la jeunesse ont toujours réussi à briser les miroirs menteurs. La chape de plomb, éculée par les lourdeurs du népotisme et du despotisme, vole  en éclat  et fait place à une vague   d’espoir sur laquelle surfent  des alternatives plus viables. Ce n’est pas un jeu d’enfants lorsque les jeunes Maghrébins désespérés s’immolent, couverts d’essence, ou se révoltent à coups de frondes ; leur avenir  est à ce prix.


    Un peu partout les peuples réclament bruyamment du pain, de l’eau et à s’employer. Bien plus, ils revendiquent la liberté. Celle d’aller et de venir à leurs guises, de manger à leur faim, de critiquer, d’orienter et de peser dans la gestion de leurs cités. De se choisir librement et démocratiquement leurs dirigeants, de renouveler leur personnel politique, de leur faire rendre gorge en cas de manquements graves, de les adouber s’ils sont à la hauteur. Ils postulent  à la liberté de participer en hommes émancipés, instruits et actifs à l’animation pleine et entière de leurs Etats, de leurs Nations. De contrôler leurs gouvernements et leurs gouvernants. Bref, la liberté de participer en citoyens libres et conscients.


    Les vents de démocratisation en Afrique, notamment de sa partie « française » que le discours de La Baule de 1991 avait suscité et/ou plutôt « boosté », avaient certes, diminué d’intensité ces dernières années, voire s’étaient quelque peu estompés. Avec les résultats plus que mitigés des conférences nationales et le retour au pouvoir conséquemment des « dictateurs » le plus démocratiquement du monde dans plusieurs pays où la révolte populaire les avait chassés et qui passaient le témoin ou faisaient montre de leur désir de passer le témoin à leur propre progéniture, au point qu’on a eu l’impression que s’ouvrait une nouvelle ère des fils de président.


    N’empêche, la démocratie reprend ses droits. Et un vent de révolte populaire souffle de plus en plus fortement et balaie tout le continent. L’Afrique subsaharienne  n’y échappera pas. 


    Cette redoutable  onde choc  vient fissurer la tour d’ivoire de l’Oyocratie . Dans sa livraison du 18 Janvier 2010, le thuriféraires des «  Dépêches de Brazzaville), grassement payés, et qui nous gavent quotidiennement de pestilence, nous épatent: « la confiscation de la richesse nationale par un petit nombre ne peut avoir comme conséquence que la révolte du plus grand nombre. Elle débouche inévitablement sur la révolte, la violence et, pour finir, l'éjection brutale des gouvernants qui la favorisent ». Les Nguesso, qui ont fait main basse sur les recettes pétrolières, n’ont qu’à bien se tenir ! Oui, c’est le crépuscule  des dictateurs !


    Dans « La Marée du soir », Montherlant nous rappelle « Il n’ y a que deux partis dans tout pays : ceux qui osent dire non, et ceux qui ne l’osent pas. Quand ceux qui ne l’osent pas dépassent en nombre considérable ceux qui l’osent, le pays est fichu »



    Quand bien même, un défaitisme nombriliste et scrogneugneu semble avoir pris le contrôle des esprits de notre jeunesse. Chaque  individu s’occupant désormais à tirer son épingle du jeu dans cette corruption institutionnalisée. Mais ce saupoudrage  ne peut aucunement annihiler la grande rogne d’un peuple qui souffre d’une inégalité dans la répartition de la richesse.


    L’omniprésence du téléphone portable et de l’Internet met  à  mal,  les pans entiers de la Sécurité d’Etat. Un  système de fonctionnement rudimentaire basé exclusivement sur la délation et la corruption. Désormais, tout ce qui se dit ou s’écrit à Tchambitso à l’instant (t) est relayé à Brazza la seconde suivante. Par conséquent, plus besoin de Télécongo ni de la Télé de Dabira, émanation du pouvoir pour savoir que notre pays reçoit entre 300 et 350 milliards de Cfa de recettes pétrolières chaque mois.


    Sassou et son clan croient jouer une partition aisée, d’autant que,  l’opposition congolaise, faute d’un projet fédérateur, choisit à hue et à dia une ruée vers la mangeoire de Mpila, jetant aux orties ses convictions. Aussi, quand ceux qui sont censés représenter cette opposition rivalisent de médiocrité et d’amateurisme, il y a fort heureusement, une frange représentative de la jeunesse congolaise qui n’a rien, sauf le courage de le faire savoir, et qui décide de dire « non » à un désordre qui s’est depuis belle lurette déguisé en ordre.


    L’exaspération a été portée à son paroxysme en juillet 2008,  à la faveur des obsèques de J.P Tchystère Tchikaya, lorsque la jeunesse pontonégrine avait réussi à faire vaciller le régime dictatorial par une manifestation spontanée. Les rats de jardin et les souris de la maison ( les complices du régime dans le Kouilou) n’avaient vu que du feu ; c’est une telle attitude qui a porté ses fruits en Tunisie.


    D’ailleurs, des milliers de Mohamed Bouazizi -le premier suicidé de Sidi Bouzid-  réfléchissent  au Congo et ailleurs, sur la meilleure façon de traduire dans les faits, leur mal être, afin  d’assener un coup fatal  aux  régimes impopulaires, gangrenés par la corruption.


    Cette déliquescence du despotisme à laquelle, on semble assister aujourd’hui, marque un  véritable changement d’époque et de paradigme dans l’ensemble du Maghreb arabe et même au-delà. Les peuples y sont devenus adultes, conscients et exigeants. Peut-être que l’Afrique, noire, blanche ou encore basanée n’est-elle pas tout à fait entrée dans la fin des dictatures quand on regarde ce qui se passe encore en Côte d’Ivoire, au Burkina. Ce qui s’est passé hier au Gabon et au Congo, nous laisse pantois, mais à coup sûr, nous sommes dans la  phase crépusculaire des dictatures sous la poussée des lames de fond de peuples assoiffés de liberté et d’épanouissement.



    Djess dia Moungouansi , Membre du Cercle de Réflexion « La Rupture »


    Le blog de Djess

    http://demainlecongo.kazeo.com/


    votre commentaire
  • LOUSSIALALA DE LA POUSSIERE
    Barde du Congo
     
    Albert N'Kibi, dit "Loussialala de la Poussière": chant, n'gomfi, sanza. 
    Pierre Ngula, dit "Dana": guitare. 
    Jean de Dieu Omo Bertin, dit "Tébère": tambour n'goma.
     
     
     
     

    Alors qu'il a cinq ou six ans, Albert se voit confier un n'gomfi (petite guitare bembé) par un homme pour qu'il le porte au village. L'homme est un peu réticent car il a peur que l'enfant abîme l'instrument. Au contraire, le petit Albert se met à en jouer en chemin et, en arrivant au village, il a déjà composé son premier morceau, "Kidilu", qui est encore aujourd'hui une chanson fétiche. Il se met à fabriquer son propre n'gomfi et, rapidement, se fait connaître dans toute la région comme un chanteur et un instrumentiste exceptionnel. Partout, sa musique suscite l'enthousiasme, à tel point qu'on dit de lui: "Quand Albert joue, tout le monde danse, et alors, il faut voir voler la poussière...". Dès lors, il est surnommé "de la poussière".

    En 1968, "De la Poussière" enregistre "Loussialala", un morceau dont le succès foudroyant traverse rapidement les frontières. Il est désormais connu et adulé sous le nom de "Loussialala de la Poussière". Il s'ensuit une carrière internationale qui le mène aux quatre coins du monde. Mais l'histoire est capricieuse, et Loussialala vit aujourd'hui en Suisse. Nous l'avons invité à nous faire découvrir sa musique avec la complicité de ses compères Dana et Tébère. Il faut l'entendre chanter dans sa mélodieuse langue maternelle, le bembé, en lingala ou en français, s'accompagnant du n'gomfi ou de la sanza: sa musique "parle au cœur, éveille l'âme et sucre la mémoire".

    Une coproduction Ateliers d'ethnomusicologie & AMR


    TOUT SAVOIR SUR DE LA POUSSIERE

    http://yokolo.net/loussialala/index.htm


    votre commentaire
  •                                                            

    La crise ivoirienne : dépassionnons le débat et analysons !


    La tournure ubuesque des événements en Côte d’Ivoire est regrettable à plus d’un titre et  séparer le bon grain de l’ivraie, relève désormais d’une démarche kafkaïenne. Une manœuvre logomachique doublée des cris d’Orfraie de certains écrivains et intellectuels africains qui tentent de déplacer le débat du respect du vote des ivoiriens sur le terrain de l’ingérence.


    Qui de Laurent Gbagbo ou Alassane Ouattara a été élu le 28 Novembre 2010 ? L’élection était –elle conforme à la constitution ivoirienne ? Pourquoi l’implication de «  La communauté internationale ? » Quel était le rôle du Certificateur ? Quelle en serait l’issue probable ?


    Pour répondre à cette kyrielle de questions, j’ai opté pour une démarche qui emprunte tout autant à l’observation qu’à la réflexion pure.


    Pour être plus proche de la réalité et bâtir une analyse crédible, le bon sens  et l’honnêteté intellectuelle voudraient que l’on prenne en considération, les thèses des deux parties en présence, au risque de tomber dans la sphère propagandiste, comme pratiquée dans les régimes totalitaires.


    Alors que le camp d’Alassane Ouattara affirme que leur leader a été élu par 54 % des suffrages exprimés, les intellectuels africains et autres panafricanistes  mettent en avant  l’ingérence de la communauté internationale dans les affaires d’un pays africain, du droit qui a été dit par le Conseil constitutionnel, de trucages des scrutins dans le nord de la Côte d’Ivoire, de pressions des rebelles des Forces nouvelles.


    Il convient de rappeler qu’en 2005, ce sont les leaders politiques ivoiriens, avec à leur tête le président de la république ivoirienne d’alors, Laurent GBAGBO, qui avaient  demandé à l’ONU de venir certifier tout le processus électoral ivoirien. Et chaque étape du processus a dû être validée par l’ONU avant que l’on ne passe à la suivante.


    Par conséquent, c’est l’ONU, aujourd’hui vouée aux gémonies qui a financé  urbi sur l’ongle, ce scrutin dont le coût de l’organisation est estimé à  300 millions d'euros, ce qui en fait l'élection la plus chère d'Afrique si l'on ramène ce coût au nombre d'habitants. Ce n’est donc pas de l’ingérence si celui qui finance une élection ait voix au chapitre, qu’il ait au moins un droit de regard.


    Pour être complet, il faut rappeler qu’en Février 2010,  Laurent Gbagbo avait non seulement obtenu la dissolution de la Commission Nationale Indépendante avec un nouveau Président, ensuite,  l’enrôlement sur les listes électorales avait été l’objet de plusieurs blocages et reports.


    Les conditions du déroulement du premier tour de l’élection présidentielles étaient  consensuelles. On pouvait pérorer sur la question de savoir qui du Constitutionnel ou du Représentant du Secrétaire général de l’ONU  avait le dernier mot, or, les prérogatives de chaque institution étant clairement définies. La loi ivoirienne dit la chose suivante : "dans le cas où le Conseil constitutionnel constate des irrégularités graves de nature à entacher la sincérité du scrutin et à en affecter le résultat d’ensemble, il prononce l’annulation de l’élection et notifie sa décision à la Commission électorale indépendante qui en informe le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies et le Représentant du Facilitateur à toutes fins utiles. La date du nouveau scrutin est fixée par décret pris en conseil des ministres sur proposition de la CEI. Le scrutin a lieu au plus tard quarante-cinq jours à compter de la date de la décision du Conseil constitutionnel ».


    Le Conseil constitutionnel n’a pas le droit de violer le droit dont il est le garant. Il n’est pas le législateur, son rôle est de dire simplement le droit. En tout cas, si les irrégularités graves susceptibles d’entacher la sincérité du scrutin étaient constatées dans les départements du Nord, rien n’interdisait au Conseil constitutionnel, en toute transparence, d’annuler l’élection. Mais en tout cas, rien ne l’autorisait  à inverser les résultats provisoires.


    Alors que Laurent Gbagbo réclamait l’annulation dans les 4 départements du Nord, Yao Ndré le Président du Conseil constitutionnel ayant acquis la conviction que même avec l’annulation du vote dans ces 4 départements, Ouattara était vainqueur, fit le grand écart en procédant laconiquement à l’investiture de Laurent Gbagbo, en violant la volonté du dépositaire ivoirien qui s’est librement prononcé en faveur de Ouattara.  Pourquoi le conseil constitutionnel qui a procédé à de telles annulations n’a pas simplement  invalidé le vote ?  


    C’est un véritable rapt intellectuel  quand certains  intellectuels Africains voudraient mettre Laurent Gbagbo sur un piédestal accompagnée  de l’épigraphe  «  'l'enfant de l'Afrique', soutenu par Dieu, et la Côte d'Ivoire, le fer de lance de la décolonisation inachevée du continent ». Un acte de friponnerie médiatique.  Le triomphe de la démagogie !.

    Pour terminer, il est bon de rappeler une évidence : la démocratie n’est pas un acquis immuable, c’est un processus continu que les gouvernants tentent encore trop souvent de vider de son contenu. Elle est aussi l’acceptation du principe d’alternance : les dirigeants doivent être prêts à «lâcher» le pouvoir plutôt que de s’enfermer dans un autisme dangereux qui frise la folie.


    Djess dia Moungouansi , Membre du Cercle La Rupture


    votre commentaire
  •  

     

    LA RESEVE PARIS : LA NOUVELLE ADRESSE PARISIENNE DE MONSIEUR EDGAR SERGE RUFFIN NGUESSO, NEVEU DU DICTATEUR CONGOLAIS DENIS SASSOU N’GUESSO

    ............................................................................................................................................
    10 Place du Trocadéro et 3 Avenue d'Eylau
    75116 Paris
    FRANCE............................................................................................................................................

    Tél. : +33 1 53 70 53 70
    Fax. : +33 1 53 70 53 71............................................................................................................................................

    Métro :
    Trocadéro

    A l’instar de la famille Ben Ali en Tunisie, la famille N’Guesso au Congo a fait main-basse sur les richesses du pays et mène une vie digne de stars hollywoodiennes et de milliardaires jet-setteurs. Et pour cause, Monsieur Edgar Serge Ruffin N’Guesso loue à l’année une luxueuse suite à 11 000 euros la nuit hors frais annexes (tels que les frais de parking pour sa Ferrari et sa Mercédès classe S qui y sont stationnées en permanence), soit plus de 4 015 000 euros annuels (11 000*365j) à La « Réserve Paris », située dans le très recherché 16ème arrondissement, place du Trocadéro. Avec ses 10 appartements privés et sécurisés, de 150 à 300 m².

    La « Réserve Paris » est une adresse rare, qui se veut intime et prestigieuse dans les moindres détails : vaste gamme de services hôteliers à la demande, concierge digne d'un 5 étoiles, gouvernante de jour, voiturier exclusif, chef à domicile… Jusqu'au choix de la bibliothèque ou à la sélection musicale, tout a été pensé pour offrir à chaque instant un confort de rêve à ses très riches locataires.

    Mêlant le confort technologique à la splendeur d'une décoration contemporaine signée Rémi Tessier, La Réserve Paris offre une vue spectaculaire sur la Tour Eiffel. Un cadre unique loué des séjours, à partir de 3 nuits et pour une durée au choix.

    Qui a dit que le Congo était un PAYS PAUVRE et surtout qui a dit que l’enquête ouverte à Paris sur les Biens Mal Acquis empêchait Sassou N’Guesso et ses proches de dormir dans le luxe à Paris ?

    Il existe tout de même une différence entre la Tunisie et le Congo, et elle est de taille, c’est qu’en Tunisie la jeunesse est capable de se lever spontanément, de surmonter la peur et prendre tout son courage pour vaincre la dictature, tandis qu’au Congo, presque tout le peuple est totalement corrompu et assoiffé d’argent facile, donc pratiquement incapable de créer la surprise et chasser ses « spolieurs » pour prendre son destin en main. Comme quoi les problèmes se ressemblent mais les peuples ne se ressemblent pas.

    Jacques Henri DESMAREST


    votre commentaire
  •  

    AVC : les signes qui doivent alerter

    Alors qu'une récente étude vient de montrer les effets positifs du Prozac sur le rétablissement des patients après un AVC, Topsanté.com revient sur l'AVC et ses signes annonciateurs.

    Qu'est-ce qu'un AVC :

    "L'Accident Vasculaire Cérébral est le plus souvent, causé par un caillot de sang qui bouche une artère cérébrale. Le sang ne peut alors plus passer et en conséquence, il n'apporte plus d'oxygène. Toutes les cellules que l'artère alimentait meurent donc par manque d'oxygène" explique Marie, infirmière en neurologie dans un hôpital parisien.
    De ce fait, il est très important de déceler au plus vite un AVC afin que la zone touchée soit "débouchée" au plus vite, pour que les séquelles soient le moins nombreuses possible.

    AVC : les signes qui doivent alerter :

    Si vous constatez subitement et brutalement, l'un ou plusieurs des signes suivants chez un proche, contactez très rapidement le SAMU (le 15). Au préalable, vous pouvez procéder à un rapide bilan neurologique pour détecter l'AVC et n'oubliez pas de noter l'heure à laquelle sont survenus ce ou ces signes.

    - Une hémiplégie droite ou gauche (paralysie d'un côté du corps)
    - Des troubles du langage
    - Des fourmillements ou des picotements d'un côté du corps, du visage ou d'un seul membre.
    - Une paralysie faciale
    - Un flou visuel
    - Des vertiges avec démarche ébrieuse (la personne ne marche pas droit)
    - Une douleur très intense et de façon subite à la tête

    Ces signes peuvent apparaître à tout moment, même la nuit. Contactez très rapidement le SAMU. De même, ces signes qui sont apparus subitement, peuvent disparaitre dans les minutes ou les heures qui suivent. Il s'agit alors de signaux d'alerte qui doivent être pris au sérieux : contactez quand même rapidement votre médecin ou le SAMU.

    Comment faire un bilan neurologique ?

    - Faites lever les bras à l'horizontale de la personne pendant au moins 10 secondes. Si la personne ne bouge pas, ou peine à tenir la position alors qu'auparavant, elle en était capable, c'est qu'elle a un déficit.
    - Procédez au même exercice pour ses jambes.
    - Touchez l'un après l'autre, les avant-bras de la personne puis ses jambes. Si elle ne ressent pas votre main de la même façon sur les deux bras ou les jambes, c'est qu'elle souffre de troubles de la sensibilité.
    - Faites parler la personne et demandez-lui de prononcer une phrase simple. Si elle s'embrouille et n'y parvient pas, c'est qu'elle souffre de troubles de la parole.
    - Faites sourire la personne. Si son sourire est déformé (un seul côté ne se lève), c'est qu'elle a une paralysie faciale.

    Merci à Marie D., infirmière en soins intensifs de neurologie dans un hôpital parisien.

     

    Source : http://www.topsante.com/sante-au-quotidien/Actus/AVC-les-signes-qui-doivent-alerter

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires