•                                                                                                    

     Lu pour vous:   LES SCANDALEUX SALAIRES DES CADRES DE LA BEAC

     

     

    Le gouverneur de la BEAC gagne 30 millions par mois (sans compter les indemnités) contre 9 millions pour celui de la BCEAO, pourquoi ?

    La situation à la BEAC est inadmissible et il est temps que la population globale d’Afrique centrale (Le Cameroun, la Centrafrique, le Congo Brazzaville,  le Gabon, la Guinée Equatoriale  et le Tchad) s'y intéresse et au besoin qu'elle se soulève contre cette mafia qui n’a que trop duré.

    Voilà une institution qui se dit celle des Etats membres mais dont le mécanisme de fonctionnement semble aller à l’encontre des intérêts des populations.

    Selon les premières estimations du Comité de rémunérations  crées pour  faire l'audit de la boite, pour l’exercice 2009, la Beac a enregistré un déficit de 29 milliards de Fcfa. Au 30 juin 2010, ses pertes étaient évaluées à 31 milliards de Fcfa. Sur la foi des observations formulées par les commissaires, six hauts cadres de la Beac (je dis bien 6) sont rétribués à hauteur de 130 millions de Fcfa  à eux seuls chaque mois.

    Au nom de quelles grilles salariales, un gouverneur de la BEAC gagne 30 millions de FCFA contre 9 millions pour son collègue de la BCEAO ? Un vice-gouverneur et le secrétaire général de la BEAC ont 20 millions de rémunération chacun, et que les trois directeurs généraux perçoivent 15 millions mensuels chacun alors que le vice-gouverneur de la BCEAO ne perçoit mensuellement que 5 millions de FCFA ?

    Qu’est-ce qu’un cadre d’encadrement supérieur de la BEAC fait plus que son collègue de la BCEAO pour percevoir environ 2 millions de FCFA  (y compris les salaires du 13ème et 14ème mois) par mois alors que celui de la BCEAO de grade équivalent ne touche que un millions de FCFA ?

    Et pourtant, en matière de résultats, on ne peut comparer ces deux institutions, la BCEAO étant nettement devant. Cela se justifie par les innovations récurrentes de cette Banque au profit de la zone de l’UEMOA qui avance alors que la CEMAC et la BEAC sont amorphes, et chancelantes. Quelqu'un m'aurait laissé entendre qu'aux rencontres communes qui réunissent les deux banques ou les deux unions économiques et monétaires, les représentants de la BEAC ou ceux de la CEMAC observent un silence de cimetière, tant les débats menés par leurs collègues de l'Ouest ont un niveau généralement très élevé. Cela ne signifie pas bien entendu qu'il n'existe pas dans ces institutions d'Afrique centrale des rares compétences de grande qualité.

    La BEAC est véritablement une vache laitière au sein desquels ne travaillent que les partisans et les proches des chefs d’Etat des pays membres. Sur les 300 cadres supérieurs que compte la Banque aujourd’hui, moins de 10% y sont par compétence. Les 90% ont été parachutés d’en haut. Les simulacres de test d’entrée à la BEAC sont des parapluies pour masquer les placements des chefs.

    Une fois de plus, j’en appelle au sens de vigilance des populations sur les dos desquels toute cette mafia s’opère.

    Les scandales financiers à répétition, depuis les détournements au bureau de Paris en passant par des placements hasardeux des fonds sont symptomatiques d’une gestion désastreuse et la solution ne pourra venir que d’un soulèvement général des populations exploitées.

    A l'avenir, en cas de non changement, les populations peuvent boycotter tous les produits et services de la BEAC en guise de mécontentement. Cela pourra se faire en deux étapes en commençant par les banques commerciales qui sont les principaux interlocuteurs de cette institution, puis par les populations.

    Si d'aventure cette solution ne les amène pas à changer, des solutions fortes peuvent être envisagées en  paralysant les activités des directions nationales installées dans chaque pays.

    N'est-ce pas qu'il faut des mesures fortes pendant que nous entrons dans  un nouveau cinquantenaire?

     

    Daniel hongramngaye

    BP 69742, Ndjamena Tchad

    hongramngaye@yahoo.fr



    votre commentaire
  • http://www.netpme.fr/



    votre commentaire
  • Suite au décès de MBOUNGOU MANANGA Guy Chyldéric, une veillée mortuaire aura lieu  ce samedi 28 Août 2010 au 34 Avenue Salvador Allende à Montreuil (93)

    votre commentaire
  •                                                                                                  <xml><w:worddocument><w:compatibility><w:breakwrappedtables>                              

    Vous avez festoyé ! maintenant changez de cap !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Au soir du 15 Août 2010, une fois que tous les falbalas trompeurs des festivités du cinquantenaire  sont fanés, il ne reste plus aucun oripeau au conquérant Sassou. Les larges manches du magicien sont déchirées et son chapeau est vide. Dans la salle, les applaudissements sont rares, les huées percent et les grincheux dominent. Dans cette représentation,  Sassou NGuesso  sait qu’il  va devoir enfin se mettre au travail.  Mais en a-t-il la volonté ?<o:p></o:p>

    L'univers façonné par lui et pour lui

    L'univers façonné  par lui et pour lui, se mue chaque jour en géhenne. Un insidieux prisme nous renvoie une réalité éculée par le vice. Il fallait jadis pour un Président être vertueux pour être aimé, il suffit pour lui  aujourd'hui d'être adulé pour être paré de vertus. C’est une bien curieuse période, propice aux  imposteurs et aux fossoyeurs : ils font ce qui est bien vu et non ce qui est bien. Signe de décadence, la tyrannie des manifestations forcées, à la soviétique, fonctionne à l'envers. Le puissant croit tenir en respect le peuple qu’il accable et qui l'acclame, alors que c'est la foule flatteuse qui enserre son maître dans ses rets: s'il ne bouge pas, s'il n’agit pas, elle l'étouffe de disgrâce. Mais il n’en a cure, son pouvoir n’est pas tributaire d’une quelconque adhésion du peuple, il le doit aux armes et à la terreur.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Or, le génie d’un dirigeant devrait être  fondé sur ses capacités et ses aptitudes à résoudre les contradictions qui se posent à son pays pendant son règne. Mais cet homme-là les exacerbe, les intensifie à dessein pour annihiler toute résistance organisée face à son funeste projet du « Chemin d’avenir ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Avant comme après les exhibitions pompeuses, les mêmes turpitudes. Du Conseil des ministres à l’Assemblée nationale, de Mpila  à Oyo, grouille un magma d’«aplaventristes» irresponsables et malléables, de délinquants multirécidivistes et de tubes digestifs de toutes sortes que Sassou, sous n’importe quel prétexte de cuisine politicienne, manipule et actionne à sa guise pour satisfaire ses rêves chimériques de monarchisation du Congo. La plèbe, tenaillée par le quotidien, reste de marbre ; les intellectuels acquiescent, les médias étouffés par la chape de plomb mpilienne s’indignent et s’éclipsent promptement ; l’opposition se calfeutre dans une résignation maladive. L’oyocratie continue inlassablement sa croisade destructrice comme un bulldozer sans freins. Elle malmène, banalise, détruit et s’amuse avec maestria avec  les institutions.<o:p></o:p>

    <o:p> Des chantiers mis sur le lit de Procuste
    </o:p>

    Pourtant, une kyrielle de grands chantiers en souffrance est simplement mise sur le lit de Procuste.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dès que l’euphorie née du taux de croissance du PIB, totalement mystificateur, caracolant autour de 6% pour 2009 et estimé à 13,30% pour 2010, dès que cette sensation d’aise disais-je, se serait essoufflée, la réalité d’une pauvreté agressive reprendra le dessus.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Un bémol tout de même ! Ces taux de croissance anormalement  élevés ne sont pas à mettre au compte de l’action gouvernementale. Ils sont essentiellement dus à la valorisation de la rente pétrolière. Par conséquent,  ils  ne sont pas générés par  des dynamiques entrepreneuriales endogènes, subordonnées elles par la politique économique d’un système gangréné par la corruption. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Face aux rouleaux compresseurs des   puissantes multinationales  pétrolières, les marges de manœuvres de nos pays sur le plan pétrolier  se réduisent comme peau de chagrin, et  n’importe quel dirigeant, même le  moins talentueux  aurait au moins réalisé cet exploit.  On se souvient d’un autre despote tropical, Teodoro Obiang NGuema  de la Guinée Equatoriale, qui à la faveur d’une croissance exponentielle de recettes pétrolières s’était targué d’avoir réussi le record envié d’un taux de croissance du PIB global de….95.3% en 1997 (dont 251,4% pour le secteur pétrolier).  Où était son mérite ? <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Quant à l’accession de notre pays à l’initiative PPTE, tous les analystes sont unanimes : en dépit de l’enveloppe  honteuse qui l’entoure, elle permettra à  notre pays de  disposer d’abondantes ressources financières. Là où le bât blesse c’est qu’une fois de plus, elles ne bénéficieront pas aux secteurs ayant de  réels effets d’entrainement sur l’ensemble de l’économie. Encore une occasion ratée, un non- évènement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’augmentation de la masse salariale consécutive à l’abrogation du  décret du 28 décembre 1994 portant suspension des effets financiers à la suite d’un avancement ou de toute autre promotion dans la fonction publique, fera subir d’énormes coups d’accordéon au budget de l’Etat. En janvier 2011, le salaire minimum dans la fonction publique s’envolera à plus de 25% !  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p>Un catalogue de saupoudrages</o:p><o:p>
    </o:p>

    Un  dirigeant inspiré par une démarche prospective aurait mis l’accent sur la valorisation des trésors d’emplois enfouis dans tous les  secteurs de l’économie. Ce qui injecterait  du pouvoir d’achat, qui lui entrainerait l’augmentation de la demande intérieure, moteur d’une économie. Tirant  à hue et à dia,  il nous propose un  catalogue  de saupoudrages sans inventivité. Aucune mesure courageuse susceptible de projeter notre pays dans la modernité, alors que les recettes pétrolières, en mesure de desserrer les contraintes financières crèvent le plafond. <o:p></o:p>


    Le grand  changement que doit réussir Sassou , et sans doute lui faut-il commencer par là, c'est le sien: être enfin un bon  président, qui doit acquérir l’idée que nul n’est irremplaçable, que l’alternance est inhérente à toute forme de démocratie. Il ne doit plus être otage de son clan pour qui, il n’est qu’une chaine d’or qui tient un boulet de plomb ; en fait, devenir un homme de cap plus que de cape. Pour réussir cette métamorphose, il lui serait bon d'être impopulaire à lui-même; c'est-à-dire qu'il doit apprendre à s'aimer un peu moins et à aimer son pays.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Décidément, c’est méconnaître le Congo que de penser  qu’il serait aisé d’instaurer une monarchie dans un pays où, jusqu’au retour de sassou par les armes,  il a tant fait bon vivre, un pays dans lequel, a priori, rien ne manque, ni la mer bleue, immense, infinie, ni la savane, ni le majestueux grand fleuve,  ni le grand Mayombe …. Une terre dont les hommes ont un tempérament vif, malin, gai et séducteur, une grande facilité à inventer, imaginer, faire, des qualités qui ne demandent qu’à être développées, et non rabaissées, reléguées au rang de vieilleries dignes d’un Musée qui n’a pas encore vu le jour, en dehors  de celui qui est dédié aux cendres de  De Brazza.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Djess Dia Moungouansi <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le blog de Djess<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    http://demainlecongo.oldiblog.com<o:p></o:p>

    </w:breakwrappedtables></w:compatibility></w:worddocument></xml>

    votre commentaire
  • <xml><w:worddocument><w:compatibility><w:breakwrappedtables>                       </w:breakwrappedtables></w:compatibility></w:worddocument></xml>
    <xml><w:worddocument><w:compatibility><w:breakwrappedtables>
       Vous avez festoyé ! maintenant changez de cap !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Au soir du 15 Août 2010, une fois que tous les falbalas trompeurs des festivités du cinquantenaire  sont fanés, il ne reste plus aucun oripeau au conquérant Sassou. Les larges manches du magicien sont déchirées et son chapeau est vide. Dans la salle, les applaudissements sont rares, les huées percent et les grincheux dominent. Dans cette représentation,  Sassou NGuesso  sait qu’il  va devoir enfin se mettre au travail.  Mais en a-t-il la volonté ?<o:p></o:p>


    L'univers façonné  par lui et pour lui, se mue chaque jour en géhenne. Un insidieux prisme nous renvoie une réalité éculée par le vice. Il fallait jadis pour un Président être vertueux pour être aimé, il suffit pour lui  aujourd'hui d'être adulé pour être paré de vertus. C’est une bien curieuse période, propice aux  imposteurs et aux fossoyeurs : ils font ce qui est bien vu et non ce qui est bien. Signe de décadence, la tyrannie des manifestations forcées, à la soviétique, fonctionne à l'envers. Le puissant croit tenir en respect le peuple qu’il accable et qui l'acclame, alors que c'est la foule flatteuse qui enserre son maître dans ses rets: s'il ne bouge pas, s'il n’agit pas, elle l'étouffe de disgrâce. Mais il n’en a cure, son pouvoir n’est pas tributaire d’une quelconque adhésion du peuple, il le doit aux armes et à la terreur.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Or, le génie d’un dirigeant devrait être  fondé sur ses capacités et ses aptitudes à résoudre les contradictions qui se posent à son pays pendant son règne. Mais cet homme-là les exacerbe, les intensifie à dessein pour annihiler toute résistance organisée face à son funeste projet du « Chemin d’avenir ».<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Avant comme après les exhibitions pompeuses, les mêmes turpitudes. Du Conseil des ministres à l’Assemblée nationale, de Mpila  à Oyo, grouille un magma d’«aplaventristes» irresponsables et malléables, de délinquants multirécidivistes et de tubes digestifs de toutes sortes que Sassou, sous n’importe quel prétexte de cuisine politicienne, manipule et actionne à sa guise pour satisfaire ses rêves chimériques de monarchisation du Congo. La plèbe, tenaillée par le quotidien, reste de marbre ; les intellectuels acquiescent, les médias étouffés par la chape de plomb mpilienne s’indignent et s’éclipsent promptement ; l’opposition se calfeutre dans une résignation maladive. L’oyocratie continue inlassablement sa croisade destructrice comme un bulldozer sans freins. Elle malmène, banalise, détruit et s’amuse avec maestria avec  les institutions.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pourtant, une kyrielle de grands chantiers en souffrance est simplement mise sur le lit de Procuste.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Dès que l’euphorie née du taux de croissance du PIB, totalement mystificateur, caracolant autour de 6% pour 2009 et estimé à 13,30% pour 2010, dès que cette sensation d’aise disais-je, se serait essoufflée, la réalité d’une pauvreté agressive reprendra le dessus.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Un bémol tout de même ! Ces taux de croissance anormalement  élevés ne sont pas à mettre au compte de l’action gouvernementale. Ils sont essentiellement dus à la valorisation de la rente pétrolière. Par conséquent,  ils  ne sont pas générés par  des dynamiques entrepreneuriales endogènes, subordonnées elles par la politique économique d’un système gangréné par la corruption. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Face aux rouleaux compresseurs des   puissantes multinationales  pétrolières, les marges de manœuvres de nos pays sur le plan pétrolier  se réduisent comme peau de chagrin, et  n’importe quel dirigeant, même le  moins talentueux  aurait au moins réalisé cet exploit.  On se souvient d’un autre despote tropical, Teodoro Obiang NGuema  de la Guinée Equatoriale, qui à la faveur d’une croissance exponentielle de recettes pétrolières s’était targué d’avoir réussi le record envié d’un taux de croissance du PIB global de….95.3% en 1997 (dont 251,4% pour le secteur pétrolier).  Où était son mérite ? <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Quant à l’accession de notre pays à l’initiative PPTE, tous les analystes sont unanimes : en dépit de l’enveloppe  honteuse qui l’entoure, elle permettra à  notre pays de  disposer d’abondantes ressources financières. Là où le bât blesse c’est qu’une fois de plus, elles ne bénéficieront pas aux secteurs ayant de  réels effets d’entrainement sur l’ensemble de l’économie. Encore une occasion ratée, un non- évènement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    L’augmentation de la masse salariale consécutive à l’abrogation du  décret du 28 décembre 1994 portant suspension des effets financiers à la suite d’un avancement ou de toute autre promotion dans la fonction publique, fera subir d’énormes coups d’accordéon au budget de l’Etat. En janvier 2011, le salaire minimum dans la fonction publique s’envolera à plus de 25% !  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Un  dirigeant inspiré par une démarche prospective aurait mis l’accent sur la valorisation des trésors d’emplois enfouis dans tous les  secteurs de l’économie. Ce qui injecterait  du pouvoir d’achat, qui lui entrainerait l’augmentation de la demande intérieure, moteur d’une économie. Tirant  à hue et à dia,  il nous propose un  catalogue  de saupoudrages sans inventivité. Aucune mesure courageuse susceptible de projeter notre pays dans la modernité, alors que les recettes pétrolières, en mesure de desserrer les contraintes financières crèvent le plafond. <o:p></o:p>


    Le grand  changement que doit réussir Sassou , et sans doute lui faut-il commencer par là, c'est le sien: être enfin un bon  président, qui doit acquérir l’idée que nul n’est irremplaçable, que l’alternance est inhérente à toute forme de démocratie. Il ne doit plus être otage de son clan pour qui, il n’est qu’une chaine d’or qui tient un boulet de plomb ; en fait, devenir un homme de cap plus que de cape. Pour réussir cette métamorphose, il lui serait bon d'être impopulaire à lui-même; c'est-à-dire qu'il doit apprendre à s'aimer un peu moins et à aimer son pays.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Décidément, c’est méconnaître le Congo que de penser  qu’il serait aisé d’instaurer une monarchie dans un pays où, jusqu’au retour de sassou par les armes,  il a tant fait bon vivre, un pays dans lequel, a priori, rien ne manque, ni la mer bleue, immense, infinie, ni la savane, ni le majestueux grand fleuve,  ni le grand Mayombe …. Une terre dont les hommes ont un tempérament vif, malin, gai et séducteur, une grande facilité à inventer, imaginer, faire, des qualités qui ne demandent qu’à être développées, et non rabaissées, reléguées au rang de vieilleries dignes d’un Musée qui n’a pas encore vu le jour, en dehors  de celui qui est dédié aux cendres de  De Brazza.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Djess Dia Moungouansi <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le blog de Djess<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    http://demainlecongo.oldiblog.com<o:p></o:p>

    </w:breakwrappedtables></w:compatibility></w:worddocument></xml>

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires