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    http://dictionnaire.tv5.org/


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    POUR  VOIR  LES IMAGES DE MARIEN NGOUABI :CLIQUEZ ICI


    Qui était Marien Ngouabi: Cliquez ci-dessous

    http://marien.ngouabi.free.fr/marien2.htm

    L’avenir d’un pays, ne doit pas ou ne peut pas être entièrement prisonnier des précédents. Mais s’affranchir du passé peut être la meilleure ou la pire des choses : la meilleure quand elle consiste à éliminer de l’analyse les éléments périmés pour régler l’action sur les éléments actuels ; la pire quand elle équivaut à une amnésie béate face aux leçons de l’histoire, ce qui entraîne la répétition d’erreurs déjà commises

    Ne pas saisir que l’on se trouve dans une situation nouvelle est une faute pour un dirigeant. Mais ne pas reconnaître une situation ancienne, dans laquelle il s’est déjà trouvé à ses dépends, constitue une faute encore plus impardonnable.

    Dans tous les cas, il est toujours important de scruter le passé d’autant qu’il nous livre des trésors d’informations inépuisables. Aimé CESAIR nous rappelle très justement que « la voie la plus courte vers l’avenir passe par l’approfondissement du passé ».

    En dépit du grand travail abattu par « la commission Assassinats » de la CNS dirigé par MASSENAT, j’avoue que d’innombrables zones d’ombres perdurent sur les circonstances de l’assassinat du Commandant Marien NOUABI.

    C’est pourquoi, je vous propose deux documents :

    - un document sonore, qui sont des confidences d’un agent secret français ayant connu Marien NGouabi et qui nous donne sa version qui semble être tirée des mémoires de Jacques FOCCART
    Dans ce document, un certain Monsieur X, nous fait des révélations fracassantes , il dit clairement que le coup fatal a été porté par le Capitaine KIKADIDI, comme semblait le conclure Jacques OKOKO le Procureur Général du pseudo procès . Ce document ne manque pas d’intérêt, tant il nous renseigne sur les hobbies du commandant défunt, sur son patriotisme, mais également sur son amour pour l’énergie nucléaire .

    Ecoutez :

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    - un autre document écrit, et qui est le fruit de la commission assassinats » de la CNS.
    Le lien de ce document intitulé « L’énigme du 18 Mars 1977 » est le suivant :

    http://www.congovision.com/forum/enigme_brazza.html

    Dans ce document que tout un chacun a pu lire, l’auteur nous dit, sans ambages, la chose suivante :

    Citation:

    A l'intérieur, Ngouabi se retrouve devant un groupe d'hommes dont il reconnaît Anga, son ennemi juré, Carlos le médecin cubain qui rôde toujours dans la résidence présidentielle et Mouassiposso. L'effet est total, le piège implacable. En une fraction de seconde, il comprend qu'il est tombé dans un traquenard, et demande à Lekoundzou qui se tient debout à la porte en montrant du doigt Anga : « Mais qu'est-ce que ce fou fait ici… ? »
    Il esquisse un geste pour dégainer son pistolet, mais trop tard, ses assaillants lui tombent dessus pour le maîtriser, tandis qu'Anga fureur saisi d'une démoniaque sort son poignard et l'enfonce à la hauteur du cou du Ngouabi en hurlant :
    « … Je t'avais prévenu. Je ne suis pas un fou et tu ne le répèteras plus jamais… ». Le sang gicle en Anga emporté comme un véritable fou continue à poignarder Ngouabi dans le dos en dépit de l'instruction formelle reçue de le prendre vivant. Les autres assaillants surpris par la rapidité de l'agression de Anga n'ont pu intervenir. Ngouabi gît au sol dans une flaque de sang, blessé mortellement. Son agresseur s'étant retiré dans un coin pour ruminer encore sa colère et savourer à la fois sa vengeance.



    En fait, d’après le récit, pour piéger Ngouabi, on lui a fait croire que son protégé Motando avait eu un accident sur le champ de tir, et qu’il se trouvait dans un état critique à l’Hotel Mistral. Le tour est joué, les comploteurs ont eu raison de Ngouabi . Ce document nous revèlent les identités de ceux qui voulaient de la peau du commandant Marien NGOUABI . Il s’agit de : Assemekang , Mouassiposso , Anga, Sassou Nguesso, Okoko jacques, Ibara Denis, Ebaka Jean-michel et Engobo Bonaventure …
    Lekouzou était également dans le coup, puis que c’est bien lui qui l’avait accueilli au Mistral le jour du Sacrifice suprême. Que voulait dire ce concept d’ailleurs ?

    Ecoutez le premier document, et lisez le second, mais surtout qu’en pensez-vous en définitive ? Lequel paraît être plus proche de la réalité ? .

    L’Histoire se répète parfois sous forme de farce disait Marx, et celle du Congo, obéira –t-elle à cette règle ?

    Djess

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    PS:

    Mes amis de Congopage en avaient déjà débattu il y a quelque temps. Voici le lien:

    http://www.congopage.com/phpBB/viewtopic.php?t=8965&view=next&sid=7476becf8e7f69d4b904b65c8889cff2

    Je vous propose également ce 3ème document de notre ami Zenga-Mambu.com . Un témoignage de Pierre Anga qui était aux abois, traqué par son ex-complice SAssou.  Quelle crédibilité y accorder ?

    En tout cas, il a son intérêt. Regarder le

    Qui est Sassou Nguesso "par le Capitaine Pierre Anga"
    Auteur: www.zenga-mambu.com
     

    Le Capitaine Pierre Anga fut ancien membre du Comité Militaire du Parti (CMP).

    Fils du pays et rebelle contre le pouvoir de Sassou alors président, il fut abattu par l'Armée Populaire Nationale (APN) à la suite d'une chasse à l'homme sanglante, avec au passage des massacres parmi les populations civiles, des ravages d'habitations, des villages entiers incendiés...

    Ce fut la guerre d'Ickongono, près d'Owando.


    Il nous dit dans cet extrait de son testament, qui est Sassou Nguesso
    .

    http://www.wat.tv/video/anga-denonce-coup-etat-17bev_kuue_.html

     
       
     

    Pour le "Plein écran" faites un double click sur la vidéo.

     


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    Le guide 2007 du Secteur associatif

    http://www.welcomeurope.com/


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  • Introduction

    Cette rubrique donne un nouveau regard que certains analystes congolais se font sur l'évolution de la société congolaise. En effet sous la pression de la mondialisation, nous sommes en train de vivre un véritable changement de paradigme. Le monde des Etats-nations faiat place à un autre monde, où le fédéralisme fournit la meilleure réponse politique à la diversité et à la complexité de la réalité actuelle.

    Ainsi, je vous proposerai de temps en temps quelques articles publiés par nos compatriotes sur ce sujet.

    Djess

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    Prémonition, par Paul Tsouares, porte-parole du mouvement congolais pour le renouveau

    Si nous voulons fonder une relation juste avec notre pays, nous devons forcer l'Etat congolais à changer de forme. Parce que je me rends compte que le Congo est à l'image de l'homme ...

    (1)- Si nous voulons fonder une relation juste avec notre pays, nous devons forcer l'Etat congolais à changer de forme. Parce que je me rends compte que le Congo est à l'image de l'homme politique qui l'a produit.

    De Stanley, et tous les personnels politiques qui sont venus avec l'indépendance jusqu'aux actuels coopérants et experts de la banque mondiale et du fonds monétaire international qui prétendent que l'ajustement macro-économique finirait par permettre à notre pays de trouver le chemin de la prospérité et du désendettement.

    ( 2 ) – Le pouvoir centralisé. Les promesses non tenues. L'absence de rescription dans tous les services de l'administration et la disparition du contrôle parlementaire des recettes de l'Etat . Le péculat . Le clan du chef de l'Etat qui accapare toutes les richesses du pays.

    L'arbitraire policier. La pauvreté qui continue de ruiner tout progrès dans nos dix régions.

    La quasi totalité de gens qui croit qu'un de leur ethnie au gouvernement y est, ou y serait pour les représenter. Sauf que le gouvernement congolais a toujours refusé le droit et la justice dans tous les processus de production et de répartition des richesses. Autrement dit, il refuse de solliciter la participation active de tous les congolais à la vie politique du pays.

      ( 3 ) Ajouter : 50 ans de fausse unité nationale ont passé, suivant trois siècles de traite et un siècle d'occupation coloniale. Tous les catéchismes sur le développement nous ont été enseignés sans nous révéler la réussite économique et sociale dans nos dix régions. C'est qu'il y a eu erreur historique.

      ( 4 ) – Le Congo est rassasié de paroles. Il connaît tous ses orateurs : leur discours d'hier et celui d'aujourd'hui. Ou encore, la pratique sociale d'une fraction quelconque de nos dirigeants pour qui, le seul moyen d'arriver au sommet de la société est le coup d'état, l'intrigue et la magouille . Il suffit de s'organiser entre parents ou amis d'un même quartier, d'un même village, d'une même doctrine, ou d'une même couleur de chemise, …

    Une fois au pouvoir, ils se nomment mutuellement à la tête de tous les services et organes de fonctionnement de l'Etat congolais, pour le conserver. Ils mettent un, chef de la police, un autre, au trésor, à la mairie, au parlement, et même un, à l'opposition. Ainsi, c'est-à-dire avec ce mode de prise du pouvoir, la bande occupe tous les hauts lieux de la République et puise l'argent, mais vraiment tout l'argent, du trésor public. Et personne ne dit rien. Tout cela y est, et se passe comme si nous étions devenus des yeza dans notre propre pays.

    Et pis, la mauvaise pratique sociale d'une fraction quelconque de nos dirigeants devenus une bande de délinquants politiques, connue de tous : : soit elle a créé des entreprises où tout est propriété de l'Etat , alors qu'elle sait que l'Etat est entre ses mains. Soit elle est devenue un peloton d'hommes et des femmes d'affaires utilisant les prébendes politiques pour développer leurs activités non compétitives et onéreuses. Il est temps de prendre conscience que notre démocratie n'est pas un état normal.

      ( 5 ) – Ce qu'il lui faut, ce sont des actes de justice contre l'impunité et l'absence de responsabilité administrative, contre l'exclusion des uns par les autres, contre le port d'armes dans les rues, contre la guerre qui ruine les paysans et les commerçants, contre le chômage et l'échec scolaire, toutes ces choses qui font que le Congo, au lieu d'avancer, il recule. C'est le sens que donne la grève de tout travailleur congolais qui luttent pour de nouveaux droits, genre de luttes que nous soutenons sans faille.

      ( 6 ) Pratiquement, les congolais veulent que tous les partis politiques le fassent . Et que la nouvelle assemblée élue aux prochaines élections donne de nouvelles institutions, pour compléter la déclaration des droits de l'homme, en y ajoutant à la liberté des individus, celle de nos dix régions à recouvrer leurs états désignés en retard, alors qu'ils le sont à cause de ce qui se passe à B/ville.

    ( 7 ) Qu'il existe un gouvernement central pour gouverner et non pour voler. Qu'à l'échelle de chaque région, il y ait une assemblée délibérative, et une loi congolaise à quatre articles. Le premier reste le principe fondamental de la formation et de la mise en place de cette assemblée qui règlerait par ses délibérations les affaires de la région. Article 2 : Le président de cette assemblée serait l'organisme exécutif de la région. Article 3 : Le représentant de l'Etat congolais dans la région est nommé par décret en conseil de ministres. Article 4 : La région prend en charge les frais de réalisations des infrastructures de base et des travaux de remise à neuf de tous les anciens ouvrages publics. Ces fonds doivent être trouvés sur le produit des impôts locaux que les agents de l'Etat ne versent pas. En fait, des fonds ne tenant pas compte de la donation de l'Etat pourtant inscrite dans la constitution actuelle, mais jamais tenue.

    Que la justice soit la même pour l'homme de la rue et les dirigeants : les chefs politiques, au sommet de l'Etat, ne doivent pas être au-dessus de la loi. Sinon, il n'y a pas équilibre.

    Que le travail soit correctement rémunéré. Qu'il y ait le plein - emplois pour les jeunes. Que la carte d'identité soit délivrée à tous : qu'on arrête de parler de la carte d'électeur qu'au dernier moment. Que ce pays redevienne à nous tous. Et vous verrez, en moins de temps, nos quartiers et nos villages, entreprendre, l'émergence d'une grande nation, la construction d'un pont sur le Congo, et l'idée de retrouver justice et équité en se tournant non pas vers le passé de nos ethnies, mais vers leur avenir.

    Continuer à revitaliser la vie régionale, discuter d'importantes questions de la politique et de l'économie régionales en particulier, les projets de coopération entre les régions dites plus pauvres que les autres, tel est le programme du mouvement fédéral que nous voulons créer comme alternative à l'Etat unitaire actuel qu'à quelques uns, aujourd'hui. Et si ce problème congolais est sans solution, c'est qu'il est mal posé, comme le dirait Albert Einstein.

     

    Paul Tsouares,

    porte-parole du mouvement congolais pour le renouveau.

    Tél : 06 17 59 79 96


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    Introduction

    Cette rubrique donne un nouveau regard que certains analystes congolais se font sur l'évolution de la société congolaise. En effet sous la pression de la mondialisation, nous sommes en train de vivre un véritable changement de paradigme. Le monde des Etats-nations faiat place à un autre monde, où le fédéralisme fournit la meilleure réponse politique à la diversité et à la complexité de la réalité actuelle.

    Ainsi, je vous proposerai de temps en temps quelques articles publiés par nos compatriotes sur ce sujet.

    Djess

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    POUR UNE DECENTRALISATION ET DECONCENTRATION POLITIQUE AU CONGO par Appolinaire KOULAMA

    France, (Etudiantcongolais.com)- Dans notre pays ravagé par le Tribalisme et ses violences politico ethniques, il faut mettre fin à notre constitution actuelle et au centralisme, afin d’imaginer et de créer, avec intelligence, notre constitution : sur la nature culturelle héritée de nos ancêtres et l’observation scientifique des faits matériels réels (historiques et contemporains).

    Sur les faits matériels historiques, De nombreux royaumes composaient le continent africain, parmi lesquels, le royaume Kongo, le royaume Ashanti…, déjà, à cette époque, l’Afrique était le théâtre des guerres entre tribu et l’esclavage y était pratiqué entre africains, des conquêtes de territoire liées aux migrations (l’avancée des peuples Nilotiques vers l’Afrique centrale de l’est, l’avancée des peuples Bantoues vers le sud du continent), les prisonniers de guerre et les grands délinquants étaient réduits en esclavage.

    L’Afrique centrale avait été découverte par les portugais qui découvrirent des royaumes bien structurés, prenant le cas qui nous intéresse le plus, le royaume Kongo qui était un Empire qui regroupait des royaumes autonomes, indépendants et de diversités linguistiques (royaume de Loango, royaume du Cabinda), l’organisation sociale s’apparentait à une démocratie fédérale, les royaumes fédérés ne se combattaient pas entre eux, la paix y régnait. Les rapports entre les individus étaient régis par le code coutumier.

    La colonisation qui a détruit les anciens empires africains avait regroupé (conséquence de la conférence de Berlin de 1885) des communautés ayant des caractéristiques différentes, ces décisions étaient prises par des politiciens et non par des intellectuels européens, sans tenir compte des futures conséquences.

    Sur les faits matériels contemporains, la France démocratique accepte d’engager un processus d’indépendance pour un futur Etat démocratique. Les premiers partis politiques sont crées à partir de 1958, le UDDIA le parti de l’abbé Fulbert Youlou dont le fief était Brazzaville et le MSA le parti de Opango avait pour fief le nord du pays. Ce bipartisme sera le résultat de l’antagonisme Nord-Sud, en 1959, des émeutes importantes et sanglantes entre les partisans des deux partis s’éclatent à Brazzaville, selon Gaspard Safou dans « de la démocratie à la démocrature ».

    Remarquons que ces phénomènes sociopolitiques est la conséquence de notre culture socio tribale, enfouis en nous, et contenue par la politique dictatoriale et totalitaire du parti unique, mais se manifestent brutalement en cas de crise ou de mutation politique. En 1993, une autre guerre civile opposera les partisans de Lissouba aux partisanx de Kolélas.

    Selon Christian M’para dans « dérives politiques et catastrophes humanitaires », l’espoir de démocratisation suscité par la tenu de la Conférence Nationale en 1991 et l’organisation des élections générales devaient constituer un tournant historique dans la vie politique congolaise. C’est que la démocratisation espérée n’était qu’un ajustement politique, forme n’ayant pas pu régler la crise de l’état post-colonial, car ce procédé ne s’est matérialisé, ni par une modification constitutionnelle profonde, ni par des changements significatifs du personnel politique.

    Pourquoi la décentralisation politique, il est d'abord et avant tout un projet politique qui cherche à concilier, à l'intérieur d'un État, deux ou plusieurs communautés distinctes, afin de les amener à vivre ensemble, et, en même temps, séparément. La décentralisation politique est un compromis entre, la souveraineté respective des différentes communautés et/ou de leurs membres. De par sa nature même, elle cherche à trouver un équilibre entre les forces centripètes et les forces centrifuges, entre des besoins antagonistes en vue de créer l'unité nationale et de diversité culturelle, entre une mise en commun et la séparation. Il repose sur la reconnaissance par le gouvernement central des gouvernements régionaux qui auront pour compétences : la gestions des affaires, une législation et une juridiction.

    Cette forme de décentralisation, aussi appelée, Fédéralisme modéré, apparaît, finalement, comme l’une des organisations sociales décentralisées, proche des individus, des droits des communautés et capable d’y répondre aux troubles populaires, aux conflits sociopolitiques, en assurant les rapports entre les individus et leurs communautés et les rapports entre les différentes communautés.

    C’est ainsi que, de nos jours, le monde, partagé entre plusieurs classes rivales ou plusieurs classes culturelles, est obligé de se donner une organisation décentralisée, ce qui est surtout important ; les succès des uns, se feront sans l’écrasement des autres. Dont l’objet essentiel est :

    1) La liberté de l’individu
    2) La liberté de la communauté
    3) L’autonomie des communautés
    4) L’association ou l’union des différentes communautés

    Pourquoi la déconcentration politique, le but, encore, est de trouver les équilibres, nécessaires, un compromis entres les différentes formes de forces nationales, pour nous permettre, ainsi, de limiter les frustrations fondées sur les besoins, les complexes et les hégémonies régionales. La déconcentration consistera de répartir la gestion de la politique nationale de façon relativement équilibrée, du point de vue géographique dans le pays, et diminuer, ainsi, l’Etat de centralisation et de concentration politique à Brazzaville.

    C’est un compromis consensuel et exogène de la gestion de la politique nationale répartie dans l’ensemble du territoire par distribution des administrations politiques, de contrôle et des compétences.
    C’est ainsi que :

    • La ville de Brazzaville, capitale du Congo abritera le siège du Gouvernement et de tous les ministères, et restera la capitale exécutive et politique.
    • La ville de Pointe-Noire, ville stratégique de notre pays, abritera le siège du Parlement national, deviendra la capitale économique et législative.
    • La ville de Ouesso, métropole importante dans le nord de notre pays, abritera le siège du la Cour Suprême, et deviendra la capitale judiciaire.

    Objet de cette constitution , Un débat de fond a toujours été, lâchement, évité dans le pays : Tribalisme et Démocratie, en vue de traiter la problématique dans le fond. Ce qui me pousse à me poser la question simple, qu’est ce que la démocratie dans une société ou les besoins, les complexes et les hégémonies ethniques sont forts?
    La démocratie n’est pas seulement l’expression du suffrage universel, mais c’est aussi l’équilibre des pouvoirs pour permettre son meilleur contrôle par les élus du peuple qui doivent rendre compte à ces derniers. L’équilibre est cette force à tendance neutralisante, les forces en présence. Cet équilibre constitutionnel dépend de l’histoire, de la culture des différentes forces en présence. Peut-on croire à la démocratie, lorsque le suffrage universel produit que des majorités ethniques sans aucune concurrence sur les projets ? La démocratie me paraît, donc, être en danger, le but de ma proposition de projet constitutionnel est d’essayer de proposer cet équilibre constitutionnel d’ordre consensuel et d’essayer, par conséquent de trouver, définitivement, une solution à cette problématique, tout en veillant à l’égalité des chances, la justice, la solidarité et la liberté du peuple, les buts avoués sont

    • Neutralisation des différentes formes de forces.
    • Eviter les conflits sociopolitiques, liés aux besoins, complexes et aux hégémonies régionaux.
    • Rapprocher les destins du peuple par la démocratie participative, par la politique décentralisée et déconcentrée.
    Par conséquent, les succès des uns, se feront sans l’écrasement des autres.

    Contact : Appolinaire KOULAMA
    E-mail : a.koulama1@wanadoo.fr

    *Cet article est en deux sous articles, pour votre meilleure compréhension, lire la suite en autre sous article en cliquant sur :
    POUR UNE AUTRE CONSTITUTION POUR LE CONGO.doc



     

     


     
     

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